Decazeville. Quand le bassin decazevillois attire les jeunes architectes
En 2019, trois étudiantes de l’École Nationale d’Architecture Paris Val de Seine, sont venues poser leurs valises à Decazeville, Portrait.
L’architecture du Bassin a toujours attiré de nombreux élèves d’écoles de Beaux Arts (Insat Toulouse), d’architecture (Enat Toulouse) et d’autres horizons comme récemment Camille Schmerber dont nous nous sommes faits l’écho.
L’ASPIBD conserve dans ses archives les comptes rendus de certains d’entre eux.
En 2019, trois étudiantes de l’École Nationale d’Architecture Paris Val de Seine, sont venues poser leurs valises à Decazeville, lieu choisi pour leur rendu de fin d’étude : Adèle Virot de Paris (75), Agathe Boscassi d’Auzances (23), Esther Devrelle de Cognac (16).
La proche famille d’Esther, demeurant à Livinhac, les a hébergées afin de faciliter leurs travaux.
Au cours de leurs divers séjours, elles ont pu s’imprégner de l’histoire de Decazeville et du Bassin, en rencontrant les différents acteurs locaux, élus, associatifs et la population, tenant deux permanences sur les marchés du vendredi. Au terme de leur cinquième année en master II, leurs trois projets présentés, les ont conduites à l’obtention de leur diplôme.
Trois projets présentés
En quelques mots, voici leurs rendus : un itinéraire vélo route le long du Riou Mort depuis Firmi jusqu’à la vallée du Lot, jalonné des pans d’histoire des divers lieux ; la réhabilitation de l’hôtel des célibataires à Viviez avec d’un côté des logements d’accueil pour étudiants ou séminaires, et de l’autre côté des ensembles bureaux et salles de réunions, les deux entités séparées en leur centre par les escaliers d’accès (l’espace ouvert donnant sur le Riou Mort étant arboré et verdoyant) ; la réalisation d’un marché couvert face aux soufflantes (zone du Centre), pouvant accueillir les producteurs locaux, la réfection des soufflantes pouvant abriter un bar voire une autre activité pour leur mise en valeur. Après avoir présenté leur travail et maquettes aux élus concernés, elles ont tenu à en faire part à l’ASPIBD, la veille du reconfinement, et remercier particulièrement Michel Herranz pour les avoir accompagnées dans ce travail de recherche.
Bien décidées de rentrer rapidement dans leur vie professionnelle, elles se proposent d’accompagner tout projet susceptible d’aider particuliers ou collectivités.
Pour tout renseignement : aufilduriou@gmail.com
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