Decazeville. Un bureau étoffé pour le Trépalou Pétan-club

Le Trépalou Pétan club a tenu son assemblée générale. Les adhérents se sont retrouvés à l’extérieur, masqués et espacés, en suivant les normes sanitaires. La société compte 42 licences, ce qui la place au sixième rang sur 20 au niveau du district. Le bilan sportif a été vite lu, avec une place de finaliste lors de du championnat de l’Aveyron des clubs en quatrième division.

Le championnat corpo s’est déroulé en deux phases pour cause Covid. Durant la reprise estivale, le club a organisé plusieurs concours amicaux qui dans l’ensemble ont été appréciés.

"Le bilan est plutôt correct pour une première année. Toutefois, nous devons nous améliorer sur plusieurs points, notamment la structuration du club", résume le président Alexis Lacam.

Justement, à ce sujet, le bureau a été étoffé, en tenant compte de la démission de Régis Steis et du recul de Philippe Clot.

Alexis Lacam reste à la présidence. Vice-président : Jérôme Daulhac ; secrétaire : Marie Pesenti ; secrétaire adjointe : Valérie Daulhac ; trésorier : Philippe Sammaritano ; trésorière adjointe : Claudine Peco.

Une commission achat et gestion des stocks pour la buvette a été créée avec "Fifi" et "Vio" Sammaritano, Claudine et Gérard Peco.

Six autres membres participeront à la vie de la société.

Pour 2021, Trépalou engage une équipe en coupe de France, coachée par Christian Alet, une autre au championnat des vétérans et au moins deux équipes en championnat des clubs (nous avons jusqu’en mars pour engager d’autres formations).

Le club regroupant près de 10 féminines pourrait également engager une équipe dans cette catégorie.

À l’instar de l’an passé, la licence coûte 50 €. Ce montant comprend les engagements aux différentes éliminatoires et les frais de certains championnats en cas de qualification.

Enfin, au niveau de l’effectif, à ce jour personne n’a demandé à muter, tandis que quatre à cinq nouveaux joueurs ont approché le club en vue d’une arrivée. Tout est donc prêt pour bien débuter l’année qui est bien sûr tributaire de l’évolution de l’épidémie.