Guillaume Verdier quitte la MJC d’Onet pour la direction de celle de Luc-la-Primaube

  • Guillaume Verdier.
    Guillaume Verdier.
Publié le
Centre Presse Aveyron

Après avoir roulé sa bosse dans plusieurs structures et villes différentes, qui lui ont permis d’acquérir pas mal d’expérience, Guillaume Verdier a posé ses valises en Aveyron en 2009, pour une autre belle aventure, au sein de la toute nouvelle MJC castonétoise, avec deux gros chantiers : la jeunesse et le Studio "Ce qui a été génial ici, c’est d’arriver à mener à bien un projet. On est parti d’une grande feuille blanche, on a pu réfléchir et on a pu sortir des sentiers battus, en proposant des choses nouvelles, ce fut enthousiasmant !".

Une aventure, avec des moments chaotiques, mais aussi des grandes joies et le sentiment d’avoir grandi en parallèle de la MJC "Ma vie personnelle n’a jamais été déconnectée de ma vie à la MJC d’Onet… Mais ce que je ressens profondément, c’est que je ne vais pas changer de travail, je ne change pas non plus d’employeur. Je reste aussi sur un même territoire, avec le même réseau, dans lequel je suis déjà beaucoup investi et les mêmes valeurs à défendre…".

La vraie richesse qu’il garde aujourd’hui, c’est toutes les rencontres et toutes les personnes qu’il a côtoyées. Toutes celles et ceux qui ne sont plus ni des collègues, ni des adhérents, mais des gens qui font partie de sa vie. "C’est très intense, et depuis quelques jours les souvenirs défilent, avec une douce nostalgie. L’accompagnement des jeunes reste la plus belle aventure, les faire grandir dans leur vie, c’est juste énorme". Et puis, il y a aussi la ville : Onet-le-Château, une ville que Guillaume a adopté, jusqu’à s’y installer avec sa famille (il est devenu papa par 2 fois, durant cette période). "Je quitte Onet-le-Château, mais j’ai l’intime conviction que j’y reviendrai. Mais pour l’heure, je suis sur ce nouveau défi : au 1er mars, je serai le directeur de la MJC de Luc-la-Primaube, même si je sais qu’il y avait encore des choses à faire sur Onet. De plus, la période est difficile, cela fait déjà un an que nous sommes en sommeil : c’est dur de travailler, dans une structure fermée, alors que l’essence même de la MJC, est d’être ouverte sur l’extérieur et de permettre à tous d’accéder à l’éducation et à la culture…".

Excité certainement, nostalgique sûrement, Guillaume Verdier est dans les starting-blocks pour ce nouveau challenge, même avec masque, distanciation et gel hydroalcoolique, conscient de sa grande chance "Je pars avec le soutien de tous ceux qui m’entourent ici, car pour eux c’est une suite logique dans mon parcours et j’espère que je pourrais construire d’aussi beaux liens dans ma nouvelle maison".

Pour finir, il remercie la directrice Marie-Christine Cayla, avec laquelle ils ont formé un formidable binôme et lance un clin d’œil à "ses jeunes", mais l’assure-t-il, ce changement ne peut-être que positif pour eux, pour se remettre en question et aller de l’avant… Tout en assurant "Oui vraiment, c’était une très belle aventure…".

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