A Villefranche-de-Rouergue, le marché du vélo ne connaît pas la crise

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  • Alexandra et Bruno Inhat sont à la tête du magasin "Chrono cycles", avenue Caylet. Alexandra et Bruno Inhat sont à la tête du magasin "Chrono cycles", avenue Caylet.
    Alexandra et Bruno Inhat sont à la tête du magasin "Chrono cycles", avenue Caylet.
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DDM

Les gérants de "Chrono cycles" se réjouissent des bonnes ventes réalisées ces derniers mois.

"Nous n’avons pas vu le confinement !…." Tels sont les propos de Bruno Inhat qui s’émerveille avec sa compagne Alexandra des fortes ventes de vélos dans leur nouveau magasin, "Chrono cycles". Enfin un commerçant qui peut dire que les affaires le concernant vont bien, très bien même.

Il est vrai que l’on constate aussi sur le plan national une forte augmentation du chiffre d’affaires quant au négoce des vélos toutes catégories : vélo de route – VTT – VTC, avec ou, sans assistance électrique (musculaire) pour les 3 catégories et vélos pour enfants.

Une boutique plus grande

La petite reine devient "roi" ! Il est vrai que les mentalités changent pour ce qui concerne la mobilité. "Nous avons du mal à nous réapprovisionner les stocks de nos fournisseurs s’épuisant", s’exclame Bruno approuvé par Alexandra une redoutable (pour la concurrence…) commerçante par sa compétence.

Il est vrai, de plus, que la boutique "Chrono cycles" s’est beaucoup agrandie lors de son déplacement de l’avenue Raymond-Saint-Gilles au numéro 36 de l’avenue Caylet. Cela permet de faire un élargissement conséquent (multiplié par presque le double "lorsque nous aurons reçu les dernières livraisons") de l’exposition de vélos proposés à la vente, vélos neufs ou d’occasion, bas prix et haut de gamme. "Nous sommes hyper contents pour l’espace et pour la disposition, le carré, pour aussi le stationnement des voitures de notre clientèle et encore pour la proximité du centre-ville. Nous voyons de nombreux nouveaux clients."

En attente de pistes cyclables

Alexandra et Bruno regrettent l’absence de pistes cyclables en ville et à la sortie de la bourgade, contrairement à d’autres villes telle Millau. Ils souhaitent une adaptation de leur métier au problème de l’écologie avec les cadres carbone – les pneus – le recyclage des batteries – les pièces plastiques à revoir – l’étude de l’assistance électrique dans le cadre sportif.

Le dernier souhait de Bruno Inhat sera un mot d’humour : "Le vélo-assistance électrique permet un bon exercice pour la santé, l’entretien de l’équilibre, la bonne récupération dans et après l’effort, bref, l’investissement devrait être remboursé par la Sécurité Sociale. " Il suffit de "monter" le dossier…

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