La Fouillade. Le temps des repas prépondérant pour les enfants

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  • Virginie Couronne, adjointe au maire en charge de l’éducation et de la jeunesse.
    Virginie Couronne, adjointe au maire en charge de l’éducation et de la jeunesse.
Publié le
Marie-Hélène REGOURD

Adjointe au maire en charge de l’éducation et de la jeunesse, Virginie Couronne a planché avec les membres de la commission spécifique (Elsa Valière, Magali Ampillac, Sandrine Hillion, Jean-Luc Authesserre et Lucas Marty) sur ce moment particulier qu’est le temps de repas et de pause médiane entre midi et quatorze heures, prépondérant pour les enfants.

Production locale et circuits courts

"Notre but, exprime l’élue, était bien de travailler sur l’amélioration globale de la restauration scolaire.".

Cela s’est concrétisé par une amélioration des repas servis, qui trouvera des prolongements grâce au projet alimentaire du territoire porté par Ouest Aveyron Communauté avec le concept de travailler au maximum sur des productions locales.

"L’idée, précise Virginie, étant d’étendre l’approvisionnement aux circuits les plus courts possible, en intégrant les productions bio, tout en respectant le programme Irqualim mené par la Région Occitanie".

Temps de récupération

Autre volet traité par les élus, en relation directe avec les enseignants, les parents d’élèves, et le personnel de la cantine, l’amélioration de l’accueil des écoliers. Par exemple, les enfants de l’école publique Jean-Lafon mangent désormais en deux services.

Ceux de maternelles et cours préparatoire en premier, pendant ce temps, les autres des cours élémentaire et cours moyen bénéficient d’un temps pour se poser entre la classe et le repas.

Et l’opération inverse se décline lors du second service. "Nous avons des retours très positifs des enseignants sur cette initiative, note l’adjointe au maire, car grâce à ce temps de récupération qui leur permet de se poser au calme, les enfants sont moins énervés l’après-midi et plus réceptifs."

Encadrant supplémentaire

Une démarche rendue possible, en particulier, grâce à l’implication de Julien Galy, animateur à l’ASCBR.

"La présence de cet encadrant supplémentaire, qui plus est animateur professionnel, formé pour cela, apporte une plus value indéniable à notre démarche", poursuit l’élue.

Et elle note également qu’il s’agit aussi, de la part de la collectivité locale, d’un soutien au milieu associatif renforçant les liens.

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