Utrillas-Decazeville : des projets malgré tout…

Pour cause de Covid, l’année 2020 est une année à oublier pour le comité de jumelage Utrillas-Decazeville et bien d’autres choses.

"Nous n’avons pas eu la possibilité de se réunir donc impossibilité de proposer des animations. Espérons que l’année en cours nous permette de reprendre nos activités. En attendant de retrouver une vie associative normale, nous restons en contact avec la municipalité d’Utrillas, impatiente comme nous, avec qui nous préparons nos futures rencontres", rapportent Hélène Solis et Luis Sanchez.

Du côté decazevillois, les dirigeants du comité travaillent toujours sur des projets, avec en premier lieu un voyage qui doit amener les participants en Cantabrie, Asturies, Castille-et-León, Galice, nord du Portugal. Au cours de ce séjour, une croisière sur le Duro fera porter un regard sur les vignobles de Porto. Enfin après deux jours à Madrid, les Aveyronnais feront étape à Utrillas au moment de la fête locale. Départ le 30 août retour le 10 septembre, 12 jours qui devraient laisser des souvenirs inoubliables. Le programme connaît un tel succès que le bus est complet depuis le lancement des inscriptions. Quelques personnes se sont inscrites en liste d’attente, au cas où il y aurait des défections.

Les adhérents sont demandeurs de ce genre de voyages et se projettent déjà sur 2022 et sur d’autres destinations. Des rendez-vous programmés au préalable sont en attente de pouvoir être réalisés comme le spectacle de Jotas, représentatif du folklore Aragonais. Il est envisagé que cette animation se déroule salle du Laminoir au cours d’une soirée "tapas". Les différents aspects de la culture espagnole seront à nouveau à l’honneur, quand un déconfinement généralisé le permettra, les plus connues étant son flamenco et sevillanes. Tandis que de nouvelles animations sont à l’étude, notamment une rencontre entre les motards des Rats des mines du Bassin et leurs homologues d’Utrillas

L’association est confortée dans ses choix, car le nombre d’adhérents ne cesse d’augmenter malgré cette coupure qui, espérons-le, ne sera que passagère.