Decazeville. Les brocantes permanentes ont tiré leur épingle du jeu
Les objets ont plusieurs vies. Ils peuvent passer de main en main, de maison en maison, d’une région à une autre, changer éventuellement de forme et de finalité.
Si les vieilles malles patinées et autres chandeliers pouvaient parler, que raconteraient-ils ? Sans doute des histoires et des émotions. Chiner a été possible dans les brocantes permanentes à certaines périodes depuis la fin du premier confinement.
Louis Bonnafoux, qui tient une brocante permanente rue Camille-Douls, précise que "les confinements que nous avons vécus ont été propices au bricolage et à la restauration : des gens sont venus acheter des petits meubles ou autres objets avec des idées bien précises. Ils avaient le temps de les retaper à leur goût".
C’est une des faces moins connues relatives à ces périodes au cours desquelles chacun a été obligés de vivre davantage à l’intérieur, de se replier sur soi-mêmes. Par contre, de nombreuses personnes et tout autant de vendeurs attendent avec impatience le feu vert pour participer à des vide-greniers en plein air, un autre loisir qui fait le charme des beaux jours.
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