Gramond. Une heureuse centenaire honorée par ses pairs à la maison Saint-Dominique

  • Ses amis de la gendarmerie ont tenu à être présent pour cet anniversaire.
    Ses amis de la gendarmerie ont tenu à être présent pour cet anniversaire.
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CORRESPONDANT

La Caisse nationale du gendarme (CNG) et la Fondation maison de la gendarmerie (FMG), ont rendu jeudi 15 juillet, à l’Ehpad Saint-Dominique à Gramond, un hommage à son adhérente centenaire, Maria Pélissou, née Rolland le 4 mars 1920. Cette cérémonie initialement prévue jeudi 26 mars 2020 avait été reportée pour cause de crise sanitaire.

Madame Pélissou, en présence de sa fille Marie-Claude, Gruart, comité restreint oblige, s’est vue remettre par Patrick Darmedru, représentant la CNG et la FMG deux magnifiques présents, un plaid et une composition florale.

Quelques dates

Voici quelques dates et évènements à retenir de Madame Pélissou. En 1942 elle épouse André Pélissou, né en 1915. La même année, André intègre l’école de gendarmerie de Romans-sur- Isère (Drome).

Première affectation à la brigade de gendarmerie de Lavaur (Tarn). Naissance de Marie-Claude, fille unique.

En 1948, la famille Pélissou déménage pour la brigade de gendarmerie de Salle-Curan. De 1948 à 1951, le maréchal des logis, André Pélissou est détaché en Indochine. Maria et sa fille séjournent à Lavaur.

Retour en 1951 à la brigade de gendarmerie de Salles-Curan.

En 1958, l’adjudant André Pélissou et sa famille rejoignent de nouveau la brigade de gendarmerie de Lavaur.

En 1970, retraite d’André. La famille se retire à Castres (Tarn).

Décès d’André Pélissou en 1996.

Maria Pélissou à deux petits-enfants (garçon et fille) et une arrière-petite-fille.

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