Decazeville. Le quartier des Estaques
Non ce n’est pas le col du Portet Saint-Lary, avec ses 2 2150 m, encore moins celui de l’Iseran dans les Alpes qui culmine à 2770 m, mais le col des Estaques avec ses quelque 300 m. Cette modeste éminence et le quartier éponyme servent de frontière ou de relais - lieu de passage incontournable - entre le Bassin urbain et la vallée du Lot rurale, naguère entre l’ouvrier/mineur et le paysan, quoique certains pratiquaient les deux activités pour s’en sortir.
Sur la photo d’époque on voit plusieurs commerces dont la terrasse d’un café au fond.
Au début des années 1970, il y avait encore trois cafés aux Estaques. On remarque par ailleurs les anciens poteaux électriques qui amenaient le courant dans les habitations. Puis, les meubles Pascal ont apporté de l’activité économique. Aujourd’hui, le quartier est bien assoupi. Une rôtisserie et un dépôt-vente ont pignon sur rue, tandis que le club de théâtre propose une activité culturelle.
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