Bozouls. L’égalité filles garçons passée à la loupe

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  • Les élèves très à l’écoute de l’intervention d’Anne Razafinanja.
    Les élèves très à l’écoute de l’intervention d’Anne Razafinanja.
  • Les élèves réfléchissent sur ce sujet d'égalité.
    Les élèves réfléchissent sur ce sujet d'égalité.
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CORRESPONDANT

Lors de la mise en place du Conseil des sages, sous l’égide de Myriam Borget, adjointe à la mairie, il a été évoqué ensemble, les différents thèmes de travail.

Brigitte Noyer, membre de ce conseil, a soumis l’idée de sensibiliser les jeunes élèves de CM2, des deux écoles sur "l’égalité filles/garçons".

Après plusieurs contacts avec le CIDFF (centre de formation sur les droits des femmes et des familles) de l’Aveyron, il a été mis en place des interventions, d’une heure dans chaque classe, qui se dérouleront en trois temps.

La première intervention a eu lieu le mardi 12 octobre, les suivantes sont programmées les 9 et 23 novembre prochains.

Le CIDFF de l’Aveyron remercie l’Agence Régionale de Santé (ARS) qui finance l’action, l’Union Régionale des CIDFF qui coordonne l’élaboration et la mise à jour des supports d’intervention, la mobilisation des bénévoles du Conseil des sages, la mairie, Francis Magne, directeur de l’école Arsène-Ratier et Mme Puech, directrice de l’école Saint-François, ainsi que les enseignantes des classes de CM2 qui ont participé. Dès la première séance elles ont permis à leurs élèves d’aborder de manière ludique cette notion d’égalité filles garçons, une loi de la République.

Cette action de sensibilisation à l’égalité a pour objectif de construire une culture de l’égalité entre les filles et les garçons en abordant l’importance de l’estime de soi et de la relation à l’autre.

"Oser s’exprimer, tout en respectant la différence entre les personnes ; éviter les discriminations, de distinguer les choses les unes des autres avec précision. Trop de certitudes existent suivant les contextes", précise Anne.

Un bon message pour rappeler les droits de chacun et éviter les idées préconçues, car le danger des stéréotypes c’est qu’ils peuvent parfois mener à des malentendus, à la discrimination et à l’exclusion envers une personne et impacter la vie scolaire de l’enfant.

Lors de la dernière heure qui se déroulera le 23 novembre prochain, les enfants construiront un support de présentation ou de communication sur l’égalité afin d’illustrer ce qu’ils ont abordé au cours des séances précédentes.

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