Ramzy Bedia et Franck Gastambide dans "Celebrity Hunted" sur Prime Video : "Je n'aurais absolument pas pu le faire sans Ramzy"

  • Ramzy Bedia et Franck Gastambide sont dans le jeu "Celebrity Hunted", disponible ce vendredi 29 octobre sur Amazon Prime Video.
    Ramzy Bedia et Franck Gastambide sont dans le jeu "Celebrity Hunted", disponible ce vendredi 29 octobre sur Amazon Prime Video. Courtesy of Amazon Prime
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ETX Daily Up

(ETX Daily Up) - Avec eux, on ne peut pas s'empêcher de rire ! Ramzy Bedia et Franck Gastambide ont fait équipe pour le nouveau jeu d'Amazon Prime Video à découvrir le 29 octobre. Dans "Celebrity Hunted", les deux amis à la ville ont dû échapper aux autorités pendant dix jours. Ils nous racontent les dessous de cette cavale rythmée et surtout à mourir de rire. Rencontre.

Avez-vous hésité à participer à "Celebrity Hunted" ?

Franck Gastambide : Non, ça nous a beaucoup, beaucoup excité, amusé, l'idée de se dire qu'on pouvait être tous les deux dans un jeu où on allait profiter de notre complicité pour se cacher, pour se faire chasser. C'est évidemment très attrayant, très excitant. Et on a dit oui dans la seconde.

Ramzy Bedia : C'est quand même une super proposition que tu peux faire à deux mecs qui sont amis dans la vie. On l'a proposé à Franck. Ils ont demandé avec qui il voulait le faire et je suis arrivé en cinquième place et j'ai dit oui, moi. [rire de Franck Gastambide] Et je crois que, les autres ne pouvaient pas. C'est ça Franck, je suis le cinquième choix ? [rires]

Franck Gastambide : La vérité, je n'aurais absolument pas pu le faire sans Ramzy. D'abord parce qu'il faut quelqu'un en qui on a ultra confiance. Et puis surtout, je savais qu'on partait pour 10 jours et 10 nuits de grande rigolade. Quand les gens vont découvrir cette cavale, ils vont découvrir que c'est nos deux cerveaux mixés qui ont trouvé cette cavale, parce qu'on a vu des extraits où on va chez mon pote dresseur, mais en fait, le but ultime, c'est d'aller rejoindre un endroit que Ramzy connaît très bien et des gens qu'il connaît très bien, qui sont clairement inatteignables.

Ramzy Bedia : Impossible.

Franck Gastambide : C'est le mélange de nos deux compétences et de nos deux réseaux qui fait qu'on a pu mener cette cavale à bien.

Avez-vous pris ce jeu au sérieux ?

Ramzy Bedia : On voulait gagner, nous.

Franck Gastambide : On n'envisageait pas autre chose que de gagner et on a pris les choses très au sérieux.

Ramzy Bedia : Vraiment !

Franck Gastambide : On n'est pas du tout arrivé en se disant on va faire un jeu, on verra bien. On s'est dit il n'est pas question de perdre et il n'y a qu'une obligation, c'est de gagner. C'est pour ça qu'on avait nos plans en tête. On avait les gens dont on sait qu'ils allaient pouvoir être très utiles. Et puis, il y a aussi toute la partie d'impro parce que rien ne se passe comme prévu dans une cavale comme celle-là.

Qu'est-ce que cette aventure vous a appris ?

Ramzy Bedia : Sur nos aides, on a appris quelque chose !

Franck Gastambide : Mais oui, parce que nous, il n'y a pas de grande surprise. Ça fait 15 ans qu'on est presque tous les jours ensemble.

Ramzy Bedia : Mais les gars qu'on a appelés, on a vu à quel point ils étaient ok. Et même après, quand ils se faisaient interroger par nos poursuivants, on a vu à quel point on pouvait compter sur eux. Vraiment.

Franck Gastambide : Ça nous a beaucoup aidés à avoir encore plus de confiance et d'amour pour les gens qu'on a sollicités.

Qu'est-ce qui vous a le plus manqué pendant ces 10 jours de cavale ?

Ramzy Bedia : On a tellement rigolé que rien ne m'a manqué. On était en cavale. C'est une expérience unique et super et rien ne m'a manqué. Le fait de ne pas avoir de téléphone... Je savais que je ne l'avais pas perdu. Je savais que je ne devais pas l'allumer parce que si je l'allumais, on était repérés et que c'est une cavale. Donc tout ça, c'est excitant et rien ne m'a manqué, au contraire. Puis, je savais que ça allait durer dix jours aussi donc ça va. [rires]

Et vous, Franck ?

Ramzy Bedia : Oui, pareil ! [rires de Franck Gastambide] Question d'après. [rires]

Pas trop dur de ne pas avoir son téléphone ?

Franck Gastambide : Effectivement, ça m'a rappelé un petit peu quand je suis parti faire "Rendez-vous en terre inconnue", où on n'a pas le téléphone, mais tout le monde sait autour de nous qu'on n'a pas de téléphone, donc on a le droit de ne pas répondre et ce n'est pas grave et c'est un confort incroyable. Donc, ne nous appelez pas et ne nous en voulez pas si on ne répond pas...

Ramzy Bedia : On était en cavale !

Franck Gastambide : C'était merveilleux !

La célébrité : avantage ou inconvénient pour l'aventure ?

Franck Gastambide : Ah non, mais je crois que c'est tout le concept de cette émission. C'est concrètement beaucoup plus compliqué quand on est une personnalité publique de s'échapper. Notre grosse inquiétude à nous, c'était qu'on nous prenne en photo, qu'on nous demande des photos qu'on a évidemment pour habitude de faire et de ne jamais refuser aux gens qui nous demandent des photos dans la rue. Sauf que là, j'ai le souvenir de photos qu'on a fait en disant aux gens : "Ne mettez pas sur les réseaux, ne publiez pas, ne dites pas où est ce qu'on est"...

Ramzy Bedia : Le lendemain, elles y étaient.

Franck Gastambide : Oui, exactement. On a même eu au moment du départ au Trocadéro, quelque chose qui nous est arrivé. C'est des jeunes filles qui sont venues demander une photo à Ramzy et moi. On leur a dit "s'il vous plaît, ne postez pas". Deux jours après, la photo de nous au Trocadéro, prêts à partir avec nos sacs en cavale, était postée. Voilà donc notre complication. Ça a été ça. C'est qu'on a pour habitude de ne jamais refuser les photos avec les gens. Sauf que là, vraiment, ça tombait très mal d'être pris en photo.

Ramzy Bedia : Et en même temps, cette complication était un avantage certaines fois, comme la fois où on a gratté la voiture chez les jeunes.

Franck Gastambide : Oui !

Ramzy Bedia : Où forcément, quand on s'est mis à frapper à des portes, on ne savait pas où aller. On ne savait pas où dormir. On ne savait pas quoi faire à un moment et on a frappé à des portes. Et c'est vrai que quand les gens ouvrent la porte, ça arrange d'être connu. Ils n'ont pas peur.

Et si vous deviez changer une chose pendant votre aventure ?

Ramzy Bedia, en se tournant vers Franck Gastambide : Ton slip [éclats de rire de Franck Gastambide] C'est son slip. Là vraiment c'est son slip. S'il y a une chose à changer de la cavale. [Eclats de rire] Il ne l'a pas changé en dix jours, frère ! Je lui ai dit "change de slip", il a fait "nan on est en cavale" [rires]. "Oui, mais tu as le temps de changer de slop enfin !", "Non !" [rires]

Franck Gastambide : Oh, on n'aura pas mieux que celle-là. [rires]

Ramzy Bedia : Je pense que c'est une bonne fin, non? En tout cas élégante.

Franck Gastambide : Qu'est-ce que vous auriez changé pendant votre cavale ? Son slop ! [rires]

Ramzy Bedia : [rires] Générique !

Franck Gastambide : Générique ! [rires]

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