Covid-19 : des centres de vaccination fermés vont rouvrir pour l'injection de la 3e dose
Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a annoncé jeudi 18 novembre sur LCI que cette décision était prise pour faire face à la hausse des vaccinations entraînées par la campagne des doses de rappel.
Pour faire face à l'augmentation du nombre de vaccination lié à la campagne des doses de rappel, le gouvernement a décidé de rouvrir des centres de vaccination, ou "vaccinodromes", qui avaient fermé après la première vague d'injections.
Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a confirmé jeudi 18 novembre sur LCI que ces derniers allaient "reprendre une activité". Les centres de vaccination "ont montré toute leur efficacité, ils sont identifiés", et "les Français les connaissent, ils savent où aller", a-t-il rajouté.
Deux facteurs devraient de nouveau entraîner une accélération de la campagne de vaccination pour les doses de rappel. À partir du 15 décembre, elle sera nécessaire pour obtenir un pass sanitaire pour les personnes âgées de plus de 65 ans. Pour les 50-64 ans, la campagne de rappel sera ouverte dès le début décembre.
??️ #COVID19France : "La situation et cette 5e vague qui a démarré peut rappeler l'urgence et la nécessité de se protéger, et de protéger les autres, grâce au #vaccin" : @GabrielAttal à @EliMartichoux dans #LesMatinsLCI. pic.twitter.com/Z7QQDi6qM9
— LCI (@LCI) November 18, 2021
5 millions de Français ont fait leur rappel
« À l’échelle de chaque territoire, les maires savent aussi quels sont les besoins de leur population, s’il y a besoin de renforcer un centre de vaccination ou de rouvrir », a souligné Gabriel Attal. Mais « il y a d’autres moyens d’accéder à la vaccination et au rappel », « chez son médecin, en pharmacie », a également rappelé le porte-parole du gouvernement.
Près de « 5 millions de Français ont réalisé leur rappel » à ce jour, pour un public éligible de 7,7 millions de personnes, s’est félicité Attal. « Ça nous place au-dessus de la plupart de nos voisins européens, mais c’est encore trop peu », a-t-il jugé. La veille, il avait affirmé que "nous sommes entrés dans une cinquième vague de l'épidémie", avec un nombre de contaminations, une incidence qui progresse très rapidement, de l’ordre de 40 à 50 % par semaine depuis maintenant deux semaines ».
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