Variant Omicron : l'OMS confirme son caractère "léger"
L'Organisation mondiale de la Santé assure ce mercredi 1er décembre qu'il y avait moins de risques de contracter une forme grave du Covid-19.
Le variant Omicron affole le monde entier depuis une grosse semaine. Des vols et des destinations annulés, des forntières fermées... Une panique irraisonnée ? On savait ce variant bien plus contagieux que Delta, quant à sa dangerosité, on n'en saura plus que dans environ "deux à trois semaines". Pourtant, les premières leçons retenues d'après les cas déclarés de variant Omicron connus n'avaient pas de quoi inciter à un tel affolement.
Ainsi, le médecin sud-africain Angelique Coetzee, qui a détecté pour la première fois le variant Omicron, décrivait en fin de semaine dernière les symptomes qu'il provoquait : fatigue intense, rythme cardiaque élevé, parfois toux sèche, et muscles "endoloris". Mais aucune perte typique du goût ou de l'odorat, comme avec les autres variants. Elle parlait même de maladie "bégnine".
Ce mardi 30 novembre, la presse se faisait l'écho du professeur Zvika Granot, immunologue à l'Université hébraïque de Jérusalem, qui décrivait le variant Omicron comme "la lumière au bout du tunnel", avec un variant plus contagieux, certes, mais moins agressif. Et qui pourrait supplanter le variant Delta, responsable de cette cinquième vague.
Ce mercredi 1er décembre, d'après La Dépêche du Midi, l'Organisation mondiale de la Santé assure dans un avis rendu que le risque de contracter une forme grave de la maladie est moins important avec le variant Omicron .
Pour le chef de la santé de l'OMS, la plupart des personnes infectées par Omicron ne souffrent que de symptômes "légers", bien que le variant se propage plus rapidement. De plus, rien ne prouve qu'il pour l'heure qu'il est plus résistant aux variants.
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