Malus, surtaxe, péages... Ce qui change dès ce début d'année pour les automobilistes
Plusieurs mesures impacteront le pouvoir d’achat des automobilistes en 2022.
Malus écologique
II augmente, cette année, et pourra coûter jusqu’à 40 000 €. Le durcissement de ce dispositif, déclenché dès 128 g de CO2 émis par kilomètres, est général. Par exemple, pour l’achat d’un Dacia Duster essence, la facture sera de 330 €, soit une augmentation de 100 €. En 2023, ce malus écologique sera à nouveau rehaussé et devrait atteindre les 50 000 € pour les véhicules les plus polluants.
Surtaxe au poids
Elle est entrée en vigueur le 1er janvier et ne s’appliquera, cette année, qu’aux véhicules de plus de 1,8 tonne, avec un montant de 10 € par kilo supplémentaire. Cette nouvelle imposition ne concerne pas, cependant, les voitures hybrides rechargeables et électriques. Un abattement est également prévu pour les familles nombreuses (au moins trois enfants), à raison de 200 kg par enfant.
Ce malus ne s’appliquera pas non plus pour les véhicules “handicap”, ou acquis par une personne détenant la carte mobilité inclusion, ou la carte invalidité militaire.
Tarifs des péages
Le ministère des Transports l’a confirmé, le 3 décembre, dans les colonnes d’actu.fr : une nouvelle augmentation du prix des péages autoroutiers interviendra, par ailleurs, en 2022 : 2 % de hausse en moyenne sur tout le réseau national payant, contre 0,44 % en 2021.
Bonus écologique
Les véhicules électriques bénéficient toujours, eux, parallèlement, du bonus écologique de 6 000 €. Le passage à 5 000 €, envisagé en janvier, a été reporté au mois de juillet.
Le bonus pour un véhicule hybride rechargeable, qui était déjà passé de 2000 à 1 000 € le 1er juillet 2021 disparaîtra, en revanche.
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