Pruines. Au royaume du rire avec "À March forcée"

  • Une confrontation ubuesque.
    Une confrontation ubuesque.
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CORRESPONDANT

Le 6 février, plus de 100 spectateurs se sont retrouvés salle socioculturelle, pour assister à la pièce "À March forcée" sur un texte de Arch Stenton, parodie de "Les Quatre Filles du docteur March" de Louisa May Alcott. Cette pièce est présentée par "Le Théâtre pour demain et après". Dany Merlet, au nom de l’Association Les Amis de Pruines, a accueilli tous les participants.

Le spectacle fut effectivement bon et même plus, remarquable. Tout au long de la pièce, les éclats de rire n’ont pas cessé de se succéder à un rythme traduisant bien l’intérêt et les réactions de tous les spectateurs.

De quoi s’agit-il ? Une pièce préparée depuis de longs mois. Impossible de la jouer. Que faire ? De grandes discussions, voire querelles au sein de la troupe et puis, "Les quatre filles du docteur March". D’accord, mais il s’agit de quatre filles pour quatre acteurs homme. Qu’importe ! Les déguisements sont là, les perruques aussi et le tour est joué, c’est, semé de querelles avec les interacteurs, parti pour être prêts dans les délais prévus.

Un jeu d’acteur remarquable, une mise en scène excellente. Un moment qui console de toutes les contraintes actuelles, le rire pour toutes et pour tous.

Laurent Cornic était à la mise en scène, avec les acteurs Claudine Delaroque, Jean Louis Delhon, Jean Claude Matha, Quentin Muller, Gilles Palazy, Christophe Ribeyre

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