Football : les réactions après Rodez - Guingamp

  • Laurent Peyrelade, l'entraîneur de Rodez, mardi 15 mars à Paul-Lignon.
    Laurent Peyrelade, l'entraîneur de Rodez, mardi 15 mars à Paul-Lignon. Centre Presse Aveyron - Jean-Louis Bories
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Centre Presse Aveyron

Mardi 15 mars, Rodez (16e) a réussi à revenir au score face à Guimgamp (12e), qui menait la rencontre (0-1) depuis la 16e minute, lors de la 29e journée de Ligue 2. Les entraîneurs réagissent. 

Laurent Peyrelade, entraîneur de Rodez 

Il faut qu’on prenne conscience que quand on se lâche, quand on met du mouvement, on est capable de faire des choses très intéressantes. Il faut continuer sur ce chemin, être confiant en ce qu’on peut faire. Je suis content que les garçons aient été récompensés, par rapport à l’énergie qu’ils ont mise. C’est un bon point de récupéré, même si on n’avance pas aussi vite que ce qu’on aurait espéré. Mentalement, le scénario est intéressant. Il va aider pour la récupération et montrer à notre environnement qu’on est là, qu’on est persévérant, même si parfois on est laborieux. Cela nous arrive de faire de grosses erreurs, mais avec ce cœur-là, on pourra faire durer notre aventure.

Clément Depres, attaquant de Rodez et buteur 

Vu la deuxième mi-temps qu'on fait, où on assiège le but de Guingamp, on ne méritait pas de repartir avec un seul point ce soir. Avec Arni (Vilhjalmsson) on a discuté avant le penalty, on avait tous les deux envie de le tirer, donc je lui ai dit que j'avais besoin de le tirer, que ça faisait longtemps que je n'avais pas marqué. Mais s'il avait insisté pour le garder, je lui aurais laissé. Puis ça rentre. J'étais sûr de moi, ça fait longtemps que je les travaille. Je savais où j'allais la mettre et j'étais quasi sûr que même si le gardien plongeait il ne l'aurait pas touchée. J'ai peut-être la lumière sur moi sur le penalty, mais la deuxième mi-temps que le collectif fait est énorme. 

Stéphane Dumont, entraîneur de Guingamp 

Notre première mi-temps a été très cohérente, tout s’est bien passé jusqu’à l’heure de jeu. Ensuite, nous avons perdu le fil à cause de bêtises qui nous pénalisent. Nous avons été très moyens lors des trente dernières minutes. Nous voulions protéger notre avantage mais nous n’avons pas été assez lucides. Nous avons concédé trop de choses durant le dernier quart d’heure. Et quand l’intensité s’est élevée, j’ai l’impression qu’on était des bébés, aussi bien dans les duels que psychologiquement.

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