Marcillac-Vallon. Rallye du Vallon de Marcillac : l'organisateur est heureux de "recréer de la vie autour du rallye"

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  • Nicolas Théron, président de l’Association du rallye du Vallon de Marcillac.
    Nicolas Théron, président de l’Association du rallye du Vallon de Marcillac. Repros CP
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Centre Presse

Nicolas Théron revient sur l’organisation du 22e Marcillac, samedi 26 et dimanche 27 mars, alors que l'épreuve a été annulée lors des deux dernières années.

Comment se sent-on à quelques heures du départ après deux ans d’abstinence ?

Ça fait du bien, ça fait plaisir de pouvoir organiser à nouveau. Ça fait plaisir de revoir du monde, de recréer du lien associatif, et ça fait du bien de recréer de la vie autour du rallye. Même si c’est du stress c’est du bon stress.

Pourquoi avoir remanié le tracé de l’épreuve ?

Cela faisait un petit moment que le Marcillac n’avait pas trop bougé. En 2020, on n’a pas pu faire le rallye pour les raisons que l’on connaît, alors que tout était prêt. Ce qui nous a amenés à décider de le reconduire à l’identique pour 2021. Mais, dès que l’on a appris que l’on ne pourrait pas non plus l’organiser en 2021, nous nous sommes dit : "on a un an devant nous, si on veut bouger les choses c’est maintenant qu’il faut le faire". On a pris le temps nécessaire car ce n’est pas simple, surtout en créant deux spéciales entièrement nouvelles. C’est beaucoup de travail car en dehors du tracé, il faut tout refaire, le timing, les road-book… Mais nous sommes vraiment satisfaits du résultat et nous espérons qu’il en sera de même pour les concurrents.

Marcillac est un peu la plaque tournante du rallye avec le parc fermé et les podiums de départ et d’arrivée mais le parc d’assistance se trouve à Saint-Cyprien à quelques kilomètres de là. Pour quelle raison ?

On n’a pas vraiment le choix. On a beau tourner le problème dans tous les sens, on manque de place et d’infrastructures. On pousse un peu les murs à Marcillac et à Saint-Cyprien, surtout que maintenant les structures sont de plus en plus grosses et certaines se déplacent avec des semi-remorques. Donc il faut de la place.

Êtes-vous satisfait du plateau ?

Nous avons un plateau de qualité avec de belles autos, aussi bien en moderne qu’en VHC, avec de nombreux concurrents possibles pour la victoire finale. Il y a également du beau monde pour disputer les victoires de groupes et de classes et c’est un véritable motif de satisfaction. Ce n’est pas toujours facile de faire venir les gens. C’est un travail de longue haleine et on y travaille sans cesse. On est vraiment content du plateau même si on aurait pris quelques voitures supplémentaires.

Que peut-on vous souhaiter pour cette 22e édition ?

Que tout se passe pour le mieux et que ce retour à la compétition soit apprécié par tous, des concurrents aux spectateurs en passant par les bénévoles et les partenaires.

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