Livinhac-le-Haut obtient le label "commune halte-chemins de Compostelle"

Abonnés
  • Le travail en équipe de la municipalité, la communauté de communes et l’office de tourisme communautaire a permis de décrocher ce label.
    Le travail en équipe de la municipalité, la communauté de communes et l’office de tourisme communautaire a permis de décrocher ce label. DDM
Publié le
Catherine Delporte

Le village de la vallée du Lot est l’un des huit premiers à être ainsi labellisé sur tout le territoire national.

Livinhac-le-Haut est l’une des 8 communes de la première promotion du label "Communes haltes-chemins de Compostelle en France", retenue par l’Agence française des chemins de Compostelle. Une belle reconnaissance pour la municipalité conduite par Roland Joffre qui, lors d’une conférence de presse, a expliqué pourquoi le village étape, entre Conques et Figeac, avait été sélectionné. Des arguments développés également par des membres de son équipe, le vice-président de la Decazeville-Communauté en charge du tourisme, Michel Raffi, et la directrice de l’office de tourisme communautaire, Magali Soubirou.

"Le travail en équipe et la volonté commune de faire vivre le territoire ont permis de monter un solide dossier et de se différencier par rapport aux 19 communes candidates à cette labellisation", a souligné Roland Joffre, qui met en avant les efforts de la commune pour renforcer, au-delà de l’accueil des pèlerins, l’attractivité touristique, source de développement économique. Les atouts ? Outre les apports naturels que sont la rivière et la plaine maraîchère et horticole, un centre bourg rénové avec sur la place, la réouverture du bar-restaurant et la création d’un multiservices, une offre d’hébergements diversifiée, des aménagements qualitatifs tel l’espace repos de jour pour les pèlerins avec panneaux d’informations, les infrastructures et activités culturelles avec la médiathèque et sa galerie d’exposition soutenue par l’association Olt’His, la sculpture de Francis Mascles sur la place du village, référence au chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle et au patrimoine historique de la commune, l’œuvre d’art refuge "Vivre seule" créée par l’architecte Élias Guenoun au Thabor.

Ce label, gage de qualité n’est pourtant pas acquis puisqu’il sera remis en cause dans cinq ans. "Il nous faut faire le mieux possible pour le conserver", a souligné le maire "et nous avons établi une feuille de route avec le programme d’actions à venir pour valoriser notre village halte". Un programme qui a permis d’éclairer sur les points forts et les points faibles et parmi ces derniers, la signalétique à l’entrée du village et, au Thabor, pour l’œuvre d’art-refuge.

Cet article est réservé aux abonnés
Accédez immédiatement à cet article
2 semaines offertes
Voir les commentaires
L'immobilier à Livinhac-Le-Haut

60000 €

Bel emplacement et beaux volumes pour cette maison T4 à rénover avec un ter[...]

Toutes les annonces immobilières de Livinhac-Le-Haut
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?