Saint-Christophe-Vallon. C’est la rentrée à l’école du pin et de la grue

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  • Une cinquantaine de participants  pour la première formation à Testet.
    Une cinquantaine de participants pour la première formation à Testet.
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CORRESPONDANT

Après deux années "noires" pour les associations, l’école du pin et de la grue (ECPG), dont les effectifs ont connu depuis la rentrée une très forte progression, a renoué avec la pratique des stages proposés à ses adhérents.

Le dernier, avant l’épisode Covid, avait été dirigé par Hélène Zimmermann, pièce maîtresse du célèbre institut européen de qi gong du Docteur Réquéna (IEQG), et avait suscité "une adhésion générale par le niveau proposé, la qualité de la pédagogie et la chaleur humaine qui émanait de l’ensemble", indique Dominique Espinasse, qui a tout naturellement fait appel à cette même enseignante pour "le premier stage succédant à une période difficile pour tous".

Ce fut aussi l’occasion pour l’association de retrouver son centre favori, le cadre champêtre de la salle des fêtes de Testet, dont les dimensions remarquables se sont avérées bien nécessaires pour recevoir la cinquantaine de participants. Tous sont membres de l’ECPG, venus de Saint-Christophe, Anglars et Montbazens les 3 sites où l’association propose son enseignement.

Face à ce nombre inattendu, Hélène Zimmermann a pu compter sur un encadrement solide, avec la présence de Rafaele Von Vepy, de Vincent Caplot et de Dominique Espinasse, président de l’association, tous trois diplômés de l’IEQG. La formation, ouverte à toutes et à tous, du débutant au pratiquant avancé, était centrée sur deux thèmes au cœur de cette pratique énergétique venue de Chine : l’axe et l’enracinement. Toutes les conditions étaient réunies pour assurer le succès de ce stage, à commencer par un soleil radieux qui a permis deux après-midi d’entraînement en plein air, et même un repas, le tout dans une ambiance d’amitié, de convivialité et de partage.

"Le contenu de la formation a été largement à la hauteur des espérances, tant par le niveau de l’enseignante que par l’humanité et la générosité de son approche", souligne Dominique Espinasse, indiquant que "la séparation finale s’était effectuée à regret, mais avec, pour tout le monde, un goût indéniable de revenez-y !"

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