C’était «le temps des cerises» pour «Jeannot» Rigal

La salle de la Madeleine était (presque) trop petite, jeudi, pour accueillir les amis venus rendre un dernier hommage à Jean Rigal, au rythme du chant des partisans et du «(le) temps des cerises», sa chanson préférée.

Devant une famille abattue par la souffrance, différentes personnalités ont, tour à tour, dressé le portrait d’«un homme simple, rigoureux, fidèle, généreux, à l’engagement indéfectible et à l’intégrité sans faille» dans son existence politique certes, mais également en tant que médecin «de campagne» (comme il aimait le rappeler) et plus tard à travers l’Association des anciens combattants de la Résistance.