De gros chantiers en vue pour l’office public de l’habitat

  • Le Foyer des jeunes travailleurs est fermé depuis mai 2013.
    Le Foyer des jeunes travailleurs est fermé depuis mai 2013. CP
Publié le
PA.D.S

Aménagements. Après vingt pavillons chemin de Girou dont les travaux pourraient débuter en fin d’année, l’OPHA a prévu, entre autres, de requalifier l’ancien Foyer des jeunes travailleurs, dont il est propriétaire, en vingt logements sociaux. Le coût de l’opération est de 900 000€.

Si les vingt pavillons sociaux sont actés chemin de Girou-le chantier pourrait débuter en fin d’année -, l’office public de l’habitat de l’Aveyron (OPHA) a également d’autres projets de grande envergure et planchent actuellement sur les derniers préparatifs. Ainsi, en premier lieu, l’ancien Foyer des jeunes travailleurs, rue Lapeyrade, propriété de l’OPHA et fermé après sa liquidation judiciaire par le tribunal en mai 2013, va être «requalifié afin d’y accueillir des logements sociaux autonomes», selon le directeur Jacky Costes.

«Nous avons pour obligation de garder cette identité sociale au bâtiment. À l’intérieur, nous allons partir presque de zéro. Il y aura à l’arrivée vingt appartements T1 ou T1 bis. Nous avons estimé les travaux à 900 000€; si tout se passe bien, ils débuteront en 2016 pour une ouverture au second semestre 2017.»

De l’autre côté de la ville, au Tricot en l’occurrence, l’office public de l’habitat vient d’injecter 1 M€ pour la mise à niveau du réseau électrique de ses quatre immeubles et de ses vingt pavillons (un chantier d’une durée de deux ans); et, dans les semaines qui arrivent, les menuiseries seront changées pour un coût avoisinant les 1,2 M€. «Là, cet investissement n’aura aucune incidence sur les montants des loyers.»

700 000€ à Pénevayre

Ce qui ne sera peut-être pas le cas dans le quartier de Pénevayre où là également, l’OPHA a programmé quelques évolutions. «Dans un programme d’économie, nous allons changer les menuiseries de 101 logements et, en matière de chaufferie, nous installerons une chaudière à condensation pour 85 appartements. Le coût s’élève à 700 000€. En revanche, une réflexion est menée quant à une hausse ou pas des loyers.» Enfin, retour dans la bastide où l’office public de l’habitat est propriétaire de deux immeubles, rues Guillaume- Lissorgues et des Cardeurs. «Ils étaient vétustes. Nous les avons entièrement rénovés, façades comprises, et dès aujourd’hui, le studio, le T1 bis et le T3 sont en service.»

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?