On mange aussi de l’aligot au Japon... mais la méthode risque de vous surprendre

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    On mange aussi de l’aligot au Japon... mais la méthode risque de vous surprendre
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Centre Presse

On l’appelle ōogui (大食い). Très appréciée au Japon, cette pratique consiste à ingurgiter devant des spectateurs médusés une quantité astronomique de nourriture. Sur sa chaîne YouTube - qui totalise 1,3 milliard de vues - la Japonaise Yuka Kinoshita a déjà réussi à gober une centaine de hamburgers, autant de nuggets, plusieurs kilos de riz, des litres de soda...

Véritable star au pays du soleil levant, Yuka Kinoshita s’est attaquée cette fois-ci à l’aligot ! Sur sa chaîne, ses 4 millions d’abonnés (!) et devant plus de 600 000 membres de son fan-club, notre « mangeuse professionnelle » a englouti, avec visiblement beaucoup de plaisir, une portion gigantesque du plat traditionnel de l’Aubrac.

Une portion à faire pâlir votre champion cantonal du plus gros mangeur d’aligot, agrémentée de cinq steaks et d’une petite salade verte, caution « healthy » de la gourmande du jour. Le tout pour un total de 4000 calories. Plutôt « light » pour la jeune femme, capable d’en avaler le double, si ce n’est le triple, en un temps record.

Si la « prouesse » laisse sans voix - à vous d’en juger -, on entend pourtant les puristes du plat auvergnat crier à l’imposture en voyant la jeune femme derrière les fourneaux. Inutile en effet de préciser que la tome fraîche, élément essentiel de la recette, n’est pas monnaie courante dans cette partie du globe. Mais de là à remplacer un caillé pressé par de l’emmental râpé et de la mozzarella... On dit non (結構です) !

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