«Isocomble» souffle fort pour la conquête de l’Ouest Aveyron
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Jean-Christophe Courbon (à droite) avec son associé Philippe Covinhes (au centre) et le commercial Victor Bayol, lors du salon de l'habitat de Rodez, en novembre dernier.
Économie. Depuis sa date de création, en 2000, la marque, filiale du groupe «Isoweck» basé dans le Lot-et-Garonne, rayonne dans toute la France. Auparavant commerciaux, Jean-Christophe Courbon et Philippe Covinhes sont désormais des «franchisés». Avec comme principal projet d’ouvrir une agence à Villefranche pour installer un savoir-faire dans un secteur à développer.
Il souffle un vent nouveau dans l’Ouest de l’Aveyron. «Isocomble», lancé en 2000, cherche ainsi à conquérir cette partie du département où le «n° 1 en isolation en France des combles perdus par soufflage» n’a pas encore posé son savoir-faire. Pour cela, la filiale du groupe «Isoweck» -créée par le grand-père Weck en 1980 et désormais géré par le fils et le petit-fils-, dont le siège social est installé à Marmande dans le Lot-et-Garonne, a lancé tout un programme de réseau de franchises à travers la France entière.
À ce jour, et en l’espace d’un peu plus de deux ans, trente-deux agences s’appuient sur une «marque de renommée nationale» pour ouvrir des marchés. Et, très bientôt, ce coin du département, et plus précisément Villefranche, sera l’une de ses bases. Aux manettes: deux anciens commerciaux ont franchi le pas en devenant «franchisés» depuis septembre pour une durée au minimum de cinq ans. Associé dans ce projet à Philippe Covinhes, Jean-Christophe Courbon connaît bien le département puisqu’il réside à la «frontière» entre l’Aveyron et le Lot.
«Comme tous les franchisés, nous avons acheté un secteur de population qui englobe 220 000 habitants; il englobe le Tarn-et-Garonne et le canton de Villefranche. L’idée est d’implanter une agence autour de la bastide avec une équipe de souffleurs et un commercial; ceci afin de rayonner de Cahors à Rodez en passant par Figeac et Albi. Tout est à faire sur le plan du développement de la marque et Villefranche est un excellent point d’ancrage.»
D’ailleurs, ils n’ont pas attendu d’y être installés pour trouver des marchés. «Nous venons d’isoler pas mal de bâtiments communaux, notamment la mairie avec ses 700 m
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