Une série d'effractions devant le tribunal de Rodez
Les magistrats ont notamment tenté de faire la lumière sur une affaire comportant 16 délits.
L'affaire jugée hier au tribunal de grande instance de Rodez, débute en 2012 du côté de Bertholène. Ce jour-là les gendarmes sont appelés pour un véhicule en flamme, une Peugeot 306 dont on a enlevé les plaques d’immatriculations.
Or, il s’avère que ce même véhicule a été vu sur plusieurs lieux d’effractions commis à la même époque en Aveyron. Les gendarmes décident d’ouvrir une enquête. Grâce au numéro de châssis ils remontent jusqu’aux propriétaires.
Tatouage
Ceux-ci leur déclarent que le véhicule a été vendu à 3 hommes. Ils se souviennent particulièrement bien du tatouage - deux mains enchaînées tendues vers le ciel - qu’un des trois hommes arborait sur son avant-bras. «Pouvez-vous lever votre manche ?», demande Denis Goumont, le président de l’audience. L’un des deux prévenus, présents à la barre - le troisième est introuvable - s’exécute.
Le tatouage est bien là. Mais pour la voiture, ce dernier déclare ne plus se souvenir. «J’ai peut-être juste accompagné l’acheteur.
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