Rignac. L’association Un œil sur le passé veut développer son activité

  • L’association est à la recherche de matériels technologiques, d’instruments de musique même en mauvais état : accordéons, cabrettes, vielles…
    L’association est à la recherche de matériels technologiques, d’instruments de musique même en mauvais état : accordéons, cabrettes, vielles…
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CORRESPONDANT

"L’association Un œil sur le passé (OSP) fera tout ce qui sera en son pouvoir pour vous surprendre et susciter la curiosité des jeunes et des moins jeunes". Un an après sa création, l’association devait, au cours de son assemblée générale faire le point de son activité et se projeter sur l’avenir. "Le chemin parcouru est significatif mais la route ne cesse de s’élargir devant nous… Profitons-en pour la prendre ensemble et faire du ramassage ou covoiturage au passage ", a déclaré le président Jean-Louis Clergue venu annoncer le report de l’assemblé générale pour appliquer les consignes nationales recommandant le principe de précaution devant l’épidémie de coronavirus. En notant l’enthousiasme ambiant pour se développer et avancer, le président est revenu sur cette année : 38 membres dont dix élus au conseil d’administration, 14 personnes considérées comme sympathisantes, 700 visiteurs venus découvrir des trésors des années passées répartis en sept catégories : gros objets, photo argentique, cinéma, machines et objets insolites, radio et son, instruments de musique, documents et photos : "Il est nécessaire d’exposer un maximum d’objets prêtés pour permettre une variabilité des thèmes… Nous recevons de plus en plus de propositions de dépôt en prêts ou en dons… Le bouche-à-oreille commence à fonctionner". Et de conclure avec les annotations inscrites sur le livre d’Or qui font état de la surprise des visiteurs et de leur satisfaction des explications fournies par les responsables.

Ambition et flexibilité

Pour 2020 qui sera selon les propos de Jean-Louis Clergue une année charnière, l’association va changer de local et s’installer à côté. Le but sera de se montrer plus ambitieux et de favoriser la réception des groupes. Pour cela, il faudra avoir plus de flexibilité sur les horaires d’ouverture. Avec l’aide municipale à travers l’office de tourisme du Pays rignacois, l’association souhaite développer une collaboration plus importante avec l’espace Georges-Rouquier de Goutrens et le musée Nos campagnes d’autrefois de La Palayrie.

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