Decazeville : de solides racines au Salon de la généalogie, un beau succès qui a rassemblé pendant deux jours

Abonnés
  • Il y avait du monde dans les allées.
    Il y avait du monde dans les allées. DDM - D.L.
Publié le , mis à jour
D.L.

Des participants ravis et des organisateurs satisfaits, retour sur la 4e édition du salon de généalogie.

Durant deux jours, Decazeville et le Laminoir ont représenté un point nodal pour la recherche des ancêtres et la construction d’arbres généalogiques. Une belle fréquentation avec bien entendu des oscillations liées au rythme de la vie de tout un chacun.

Les 33 stands ont vu défiler des curieux, des connaisseurs, des débutants. Les spécialistes ont mis en avant les pas de géants apportés par l’informatique et Internet, permettant d’accéder rapidement à de nombreuses ressources. Encore faut-il connaître les pistes à suivre pour réaliser sa lignée. Aidé par un connaisseur, vous pouviez vous initier à la création de votre arbre généalogique. Plusieurs personnes, souvent des couples à la retraite, se sont prises au jeu. D’autres viennent rechercher une information bien précise ou combler un « chaînon manquant ». Parmi les stands, le patrimoine, la mémoire et l’histoire n’étaient pas en reste, complétant l’offre.

"Quoi qu’il en soit, aussi bien au niveau des partenaires, dont la mairie de Decazeville, que des stands participants et du public, nous avons reçu de nombreuses félicitations. Sans comptage, il est délicat d’évaluer avec précision l’affluence, mais on peut avancer – sans trop se tromper – que la fréquentation a été au moins égale à l’édition précédente. Nous remercions particulièrement Patricia Perez pour son aide", rapportent Danièle Riouffrait et Philippe Flamme, qui se sont beaucoup investis au nom de l’ARGEA, association organisatrice dont ils sont membres.

Des conférences suivies

En parallèle du salon, 7 conférences ont animé ces deux journées, avec en moyenne une trentaine d’auditeurs à chacune. Alain Alonso a mis en lumière les femmes anonymes du Bassin, Jean Delmas a développé un sujet peu commun : une société de jeunesse remontant au XVe siècle, l’étudiante en architecture Louna Ricci est revenue sur les métamorphoses géologiques qui ont transformé le Bassin minier, Loïc Randeynes a dressé un florilège d’illustres musiciens inconnus, André Romiguière nous a parlé de la Révolution de 1789, Laetitia Bex a fait revivre Emma Calvé et Philippe Velez enfin a rappelé le militantisme de Prosper Alfaric.

Une cinquième édition ? "Il est trop tôt pour en parler", ont répondu les membres de l’ARGEA.

Cet article est réservé aux abonnés
Accédez immédiatement à cet article
2 semaines offertes
Voir les commentaires
L'immobilier à Decazeville

127000 €

2 Km Centre-ville, Maison T6 avec garage, terrasse, cave et terrain clos de[...]

Toutes les annonces immobilières de Decazeville
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?