Rodez : Brahim Rostom rend les clés
Basket. Arrivé à l’été 2013, l’entraîneur du Stade Rodez Aveyron basket a décidé de ne plus continuer avec l’équipe fanion. Aucune décision n’a, en revanche, été prise quant à ses fonctions de manager.
Aussitôt fini, aussitôt dit. C’est en résumé la situation qu’ont vécue lundi le Stade Rodez Aveyron basket et son coach Brahim Rostom. Alors que la saison de l’équipe fanion a officiellement pris fin samedi, par un succès à Panazol (87-76), le technicien a profité des entretiens individuels, deux jours plus tard, avec les dirigeants ruthénois pour leur notifier son «souhait de ne pas reprendre le groupe la saison prochaine».
Après deux exercices à la tête du Srab, l’homme de 53 ans a donc préféré dire stop et passer la main. «Je n’abandonne pas mais j’estime que ça ne sert à rien de s’accrocher, explique-t-il. Ce club mérite beaucoup mieux que la N3 et je pense qu’un nouvel entraîneur peut apporter un autre élan.»
Cet élan, Brahim Rostom l’a insufflé durant deux saisons. Mais après avoir d’abord échoué face à Frontignan pour l’accession en Nationale 2, le Srab a buté sur Gardonne lors du dernier exercice. Selon le technicien, le résultat contraire n’aurait pas changé sa décision.
«Cela fait déjà 3 ou 4 mois que c’était clair dans ma tête, affirme celui qui avait succédé à Éric Occansey après la relégation de N2. Même s’il y avait eu montée, j’aurais arrêté car il y a trop de charges et de travail au sein du club. J’ai discuté avec mon président (Vincent Bonnefous) et mon directeur sportif (Jérémy Mourino) et je crois qu’ils étaient soulagés de ma décision.»
«Certains se cachent
J'ai déjà un compte
Je me connecteSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?