Du Carmel à l’Évêché de Rodez Le trait d’union se dessine

Neuf mois à peine après le lancement des travaux, en février 2015, le chantier de transformation de l’ancien carmel de Rodez en évêché progresse de manière spectaculaire, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Le calendrier qui prévoit une livraison au 31 mai 2016, un déménagement dans le courant de l’été et l’accueil du public à partir de septembre s’affine et se confirme peu à peu.

A l’intérieur, à l’abri des regards, les différents corps de métiers s’activent. La transformation est visible chaque jour grâce au travail acharné des ouvriers, à la vigilance de l’équipe mise en place par le Diocése pour suivre le projet et à la conduite des travaux de main de maître par le cabinet d’architectes.

Les espaces de vie et de travail prennent une forme définitive. L’heure s’approche de se consacrer bientôt aux détails d’aménagement.
Dehors, l’ardeur des équipes affiche avec du Carmel à l’Évêché de Rodez la même intensité.

Les nouveaux bâtiments (archives, locaux techniques, garages) sont installés dans leurs dimensions et formes définitives. Le futur évêché continue à s’ouvrir, sur le jardin public, la cité, l’extérieur, doté maintenant de l’un de ses symboles clés : cet auvent triangulaire, partant du bâtiment des archives, conservateur de la mémoire et de l’histoire de l’Église catholique d’Aveyron, se déployant à la fois parallèle au quadrilatère conventuel et à l’avenue qui le borde.

Un auvent protecteur, trait d’union entre l’Église et la société tout entière, entre nos racines et l’avenir vers lequel nous projette sa flèche.

Quasiment à mi-parcours des travaux, puisque les services de l’évêché (secrétariat général, comptabilité, service social, communication,
archives) seront opérationnels dès septembre 2016, le projet continue de recueillir le soutien, notamment financier, de nombreux aveyronnais... ceux qui vivent en Aveyron, mais aussi ceux qui vivent ailleurs (beaucoup en région parisienne), très attachés « au pays ».

Qu’ils soient salués et remerciés. Ce soutien peut se poursuivre et se renforcer puisque, à cette étape intermédiaire du chantier, correspond aussi une étape intermédiaire financière : la moitié du chemin reste encore à parcourir pour atteindre l’objectif souhaité pour la souscription qui a été lancée. Alors, pour que le trait d’union puisse achever de se dessiner, ne nous arrêtons pas en chemin !