Pour Emmanuel Macron, la rime avec Aveyron « marche » bien

Pour Emmanuel Macron, la rime avec Aveyron « marche » plutôt bien. En tout cas, il y a beaucoup de signes qui ne trompent pas ! Déjà, en août 2016, alors que les ministres du gouvernement Valls avait pris leur quartier d’été, celui qui était encore ministre de l’Économie n’avait pas quitté son costume pour une escale aveyronnaise. Avec notamment un passage à l’usine Bosch et une visite du musée Soulages.

L’idée lui avait peut-être été soufflée par un Aveyronnais qui ne le quitte plus d’une semelle. Le nouveau secrétaire général du mouvement « En marche », Richard Ferrand. Le député du Finistère est en effet né à Rodez et devient le véritable bras droit de l’ambitieux homme politique. Une double page lui est d’ailleurs consacrée dans le «Libé» du week-end. Une autre personne, aux origines aveyronnaises, gravite dans l’environnement d’Emmanuel Macron. Ludovic Chaker.

« En marche »

Ce jeune natif de la vallée de la Dourbie, qui revient régulièrement se ressourcer dans le sud-Aveyron fait partie de ce que l’on peut appeler la garde rapprochée de Macron. Organisant notamment une partie des meetings du chef de fil du mouvement « En marche ». Dans cette garde rapprochée, une autre figure de la politique aveyronnaise apparaît. Il s’agit du maire de Rodez, Christian Teyssèdre.

Samedi, il était en effet au premier rang lors du grand raout de Macron, au cours duquel les 500 animateurs sélectionnés à travers le pays pour faire vivre son mouvement ont été réunis. Un rassemblement qui s’est déroulé à Paris. Et devinez où ? On vous le donne en mille : à la maison de l’Aveyron ! À ce stade-là, on peut dire que la rime de Macron avec Aveyron est... riche.