Aveyron : un financement participatif pour réaliser les rêves de cinéma d’un enfant du pays

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  • Teva Galopin, fils de Pascal, fondateur du festival d'Espalion et maintenant de "On court à la Baleine" à Onet. Teva Galopin, fils de Pascal, fondateur du festival d'Espalion et maintenant de "On court à la Baleine" à Onet.
    Teva Galopin, fils de Pascal, fondateur du festival d'Espalion et maintenant de "On court à la Baleine" à Onet.
  • Kamil Touil, ami de Téva Galopin, se rêve réalisateur qui passe par ce financement participatif. Kamil Touil, ami de Téva Galopin, se rêve réalisateur qui passe par ce financement participatif.
    Kamil Touil, ami de Téva Galopin, se rêve réalisateur qui passe par ce financement participatif.
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Teva Galopin dont le papa, Pascal, a fondé le festival du film d'Espalion et poursuit l'aventure à Onet-le-Château, a pour ambition de réaliser son premier court-métrage avec son ami Kamil Touil. Un financement participatif a été lancé sur Ulule.

Galopin. Le nom est bien connu en Aveyron avec Pascal de son prénom, fondateur du festival du film à Espalion devenu le festival "On court à la Baleine" à Onet-le-Château. Désormais, on peut aussi compter sur son fils Téva qui s’apprête à tourner son premier court-métrage avec son ami Kamil Touil. "J’le fais ou pas ?" Tel est le titre. Avec pour pitch : Lors d’une soirée festive, Max, en couple, se fait "chauffer" par la copine de son meilleur ami, Alex. Partagé entre fantasme et loyauté, Max est paniqué et ouvre un débat avec ses amis. Que vont-ils lui conseiller ? Max franchira-t-il le pas ? Réponse en regardant le film.

Sensibiliser aux préoccupations des jeunes

Sa réalisation passe par un financement lancé sur Ulule. Les deux amis sont étudiants en cinéma à Clermont-Ferrand, capitale du court-métrage en France, ce qui est bon signe. "Les intentions de leur film sont multiples, mais leur questionnement principal est de sensibiliser sur les risques d’éloignement, de rupture, puis de séparation au sein d’une relation de couple amoureuse et fusionnelle, un sujet important pour eux et au cœur des préoccupations de leur jeune génération. Ils voulaient en faire un film", explique Pascal Galopin, pas peu fier de voir cet atavisme prendre le chemin du 7e art. Pour que les "rêves de cinéma", (qui étaient aussi le titre du festival à Espalion) se réalisent, on sait ce qu’il reste à faire pour lancer un bout d’Aveyron sur la pellicule : J’le fais !

https://fr.ulule.com/j-le-faits-ou-pas-court-metrage/?utm_campaign=presale_181545&utm_source=shared-from-Ulule-project-page-on---http.referer--&utm_medium=uluid_5535855-post-202402060936

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