CARTE. Où le Covid-19 régresse le plus vite dans la région Occitanie

  • L'Aveyron est encore le deuxième département d'Occitanie avec le taux d'incidence le plus élevé.
    L'Aveyron est encore le deuxième département d'Occitanie avec le taux d'incidence le plus élevé. Santé publique France -
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Alors que le nombre de nouvelles contaminations est descendu sous la barre des 100 000 en France, on fait le point sur la situation sanitaire en Occitanie.

Les derniers chiffres de Santé publique France comptabilisent 92 345 nouvelles contaminations au cours des dernières 24 heures. Le pays est donc descendu sous la barre symbolique des 100 000, quand le pic dépassait les 350 000 il y a tout juste un mois.

Jeudi 17 février 2022, le nombre de patients hospitalisés du Covid-19 est également descendu sous la barre des 30 000. Ils sont encore 3 055 à présenter des formes graves et à être placés en soins critiques.

Le point en Occitanie

La baisse est amorcée dans l'ensemble des départements d'Occitanie depuis le début du mois de février. C'est dans les Hautes-Pyrénées que le taux d'incidence est encore le plus élevé, avec 2 139 cas pour 100 000 habitants, puis dans l'Aveyron avec 1 966 cas pour 100 000 habitants.

C'est en revanche dans les Pyrénées-Orientales que le taux est aujourd'hui le plus bas : 1 189 cas pour 100 000 habitants.

Voici le détail pour chaque département, d'après les données de Santé publique France en date du 17 février 2022 :

  • Aveyron : 1 966 cas pour 100 000 habitants (contre 3 023 la première semaine de février)
  • Haute-Garonne : 1 553 cas pour 100 000 habitants (contre 2 605 la première semaine de février)
  • Lozère : 1 421 cas pour 100 000 habitants (contre 2 410 la première semaine de février)
  • Gard : 1 415 cas pour 100 000 habitants (contre 2 161 la première semaine de février)
  • Hérault : 1 397 cas pour 100 000 habitants (contre 2 221 la première semaine de février)
  • Aude : 1 635 cas pour 100 000 habitants (contre 2 252 la première semaine de février)
  • Pyrénées-Orientales : 1 189 cas pour 100 000 habitants (contre 1 756 la première semaine de février)
  • Ariège : 1 843 cas pour 100 000 habitants (contre 2 740 la première semaine de février)
  • Hautes-Pyrénées : 2 139 cas pour 100 000 habitants (contre 2 831 la première semaine de février)
  • Gers : 1 991 cas pour 100 000 habitants (contre 2 785 la première semaine de février)
  • Tarn-et-Garonne : 1 887 cas pour 100 000 habitants (contre 2 866 la première semaine de février)
  • Tarn : 1 632 cas pour 100 000 habitants (contre 2 676 la première semaine de février)

Ces départements où ça diminue le plus vite

Certains départements en France sont repassés sous la barre des 1 000 cas pour 100 000 habitants. On peut cibler la Haute-Savoie et la Savoie, qui étaient parmi les plus sévèrement touchés au pic de l'épidémie et qui ont ensuite été parmi les premiers à voir le nombre de cas diminuer à grande vitesse.

Le Rhône a suivi, ainsi que certains départements du nord : la Sarthe, l'Eur-et-Loir, le Loiret, la Marne, l'Eure et la Seine-Maritime. La totalité des départements d'Île-de-France ont été les premiers à passer en dessous de 1 000 cas de taux d'incidence.

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