Aveyron : Sainte-Marie et la fondation Optéo travaillent à "assurer une continuité des soins"

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  • Magalie Brougnounesque (directrice des établissements Sainte-Marie en Aveyron, à gauche au premier plan) et Sophie Raymon (directrice générale de la fondation Optéo, à droite au premier plan) ont renouvelé ce partenariat, entourées de cadres de la fondation Optéo et de Sainte-Marie.
    Magalie Brougnounesque (directrice des établissements Sainte-Marie en Aveyron, à gauche au premier plan) et Sophie Raymon (directrice générale de la fondation Optéo, à droite au premier plan) ont renouvelé ce partenariat, entourées de cadres de la fondation Optéo et de Sainte-Marie. Centre Presse Aveyron - Ph. H.
Publié le , mis à jour

Les deux entités ont ainsi renouvelé un partenariat qui doit permettre une meilleure prise en charge des personnes en situations de handicap et faciliter leur maintien à domicile

Entre le centre hospitalier Sainte-Marie et la fondation Optéo, le partenariat dure depuis 2018. Les deux entités se sont ainsi rapprochées afin de permettre "d’améliorer la qualité de l’offre proposée aux personnes en situation de handicap".

Au-delà de cette signature, il s’agit pour l’établissement de santé et la structure qui travaille dans le médico-social d’apporter "d’assurer une continuité des soins pour les patients, depuis la structure de santé jusqu’à leur domicile", explique Sophie Raymon, directrice générale de la fondation Optéo.

45 suivis à domicile

À ce jour, 45 personnes sont suivies à leur domicile. "La qualité de vie des personnes qui sont suivies est essentielle pour que les soins soient les plus efficaces possible. Il s’agit aussi d’éviter ces ruptures de soins qui sont préjudiciables", complète Magali Brougnounesque, directrice des établissements Sainte-Marie en Aveyron.

"Un lieu de vie à s'approprier, animer"

Toujours dans ce même esprit, à Villefranche-de-Rouergue, une structure a vu le jour, début septembre, permettant d’accueillir des personnes affectées par des troubles autistiques. "C’est un lieu de vie que ces personnes devront s’approprier, animer. À terme, l’endroit pourra accueillir une vingtaine d’entre eux", détaille Alain Cenraud, directeur d’établissements et services à la Fondation Opteo.

Une manière de développer et de renforcer un peu l’autonomie de ces personnes pour qui "il n’est pas toujours évident de se mettre en avant et d’être acteur des échanges", poursuit Alain Cenraud.

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