3 raisons de profiter des derniers jours de l'expo Soto au musée Soulages

  • Depuis le mois de décembre, la rétrospective consacrée à l’artiste vénézuélien occupe la salle d’exposition temporaire.
    Depuis le mois de décembre, la rétrospective consacrée à l’artiste vénézuélien occupe la salle d’exposition temporaire. José A. Torres
  • Depuis le mois de décembre, la rétrospective consacrée à l’artiste vénézuélien occupe la salle d’exposition temporaire.
    Depuis le mois de décembre, la rétrospective consacrée à l’artiste vénézuélien occupe la salle d’exposition temporaire. José A. Torres
Publié le , mis à jour
Centre Presse Aveyron

L’exposition temporaire s’achève samedi, avant l’arrivée de Picasso, le 11 juin.

Ouverte en décembre dernier, la rétrospective de l’œuvre du maître vénézuélien de l’art cinétique, Jesus-Rafael Soto, connaît un succès populaire certain. Jamais depuis l’ouverture du musée Soulages une exposition temporaire n’avait autant inondé les réseaux sociaux.

Sur les derniers week-ends, quelque 1200 visiteurs se pressaient dans l’antre de l’Outrenoir. Et chaque jour pendant les vacances, ils sont près de 600 à passer ses portiques d’entrée. Samedi, le musée Soulages baissera le rideau sur l’œuvre de l’artiste plasticien. D’ici là, pour vous aider à vous décider ces trois derniers jours, on vous donne trois raisons de ne pas rater cette exposition...

Des œuvres ludique

«Les petits se sont éclatés». Et nous... aussi. Voilà ce qui ressort de la bouche de nombreux visiteurs, confie le personnel du musée. Avec ses œuvres «pénétrables» et partiellement mouvantes, selon la position du spectateur, l’exposition cinétique de Soto est résolument ludique. Et tombe à pic, en cette dernière semaine de vacances scolaires pour occuper les plus petits. Au moins autant que les grands.

Un art rarement visible

Plutôt habitué à la peinture, à la sculpture, à la gravure, le public ruthénois découvre avec Soto un art cinétique encore méconnu. Des œuvres optiques fascinantes, au-delà de leur aspect esthétique. On se surprend rapidement à tourner autour des installations, à se dresser sur la pointe des pieds, à cligner un œil. Puis l’autre. Une expérience qui ne laisse, dans tous les cas, pas indifférent.

Un succès unanime

Sans compter l’exposition temporaire inaugurale consacrée aux Outrenoirs de Pierre Soulages, la rétrospective Soto apparaît comme le premier véritable succès populaire du musée. Car si les néons de Claude Lévêque ont laissé plus d’un visiteur perplexe, rares sont ceux qui n’aiment pas l’actuelle exhibition. Une enquête de satisfaction auprès du public -toujours en cours-devrait, sous peu, confirmer cet engouement. 

Depuis le mois de décembre, la rétrospective consacrée à l’artiste vénézuélien occupe la salle d’exposition temporaire.
Depuis le mois de décembre, la rétrospective consacrée à l’artiste vénézuélien occupe la salle d’exposition temporaire. José A. Torres

Du mardi au dimanche de 11 heures à 19 heures, fermé le 1er mai. Entrée 9€(valable 1 mois), donnant aussi accès aux musées Fenaille et Denys-Puech. Réduit 5€. Gratuit -18ans.

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