Hormone de croissance: les proches vont pouvoir réclamer une indemnisation

  • Jeanne Goerrian (d), président de l'association des victimes de l'hormone de croissance (AVHC), le 5 mai 2011, au Palais de Justice de Paris
    Jeanne Goerrian (d), président de l'association des victimes de l'hormone de croissance (AVHC), le 5 mai 2011, au Palais de Justice de Paris AFP - Pierre Verdy
Publié le
AFP

La Cour de cassation a renvoyé mardi devant la cour d'appel de Paris les deux dernières personnes poursuivies dans l'affaire de l'hormone de croissance, ouvrant de nouveau la possibilité aux proches des victimes de réclamer des dommages et intérêts.

La cassation ne concerne que les intérêts civils et pas le volet pénal, qui a lui été jugé définitivement. En mai 2011, la cour d'appel avait ainsi relaxé le professeur (91 ans), qui dirigeait le laboratoire Uria, rattaché à l'Institut Pasteur et chargé d'élaborer la poudre d'hypophyse (la glande qui produit l'hormone de croissance), et Elisabeth Mugnier (64 ans) qui assurait, elle, la collecte des hypophyses sur des cadavres.

Source : AFP

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?