Aveyron : voilà un an que le virus a bouleversé nos vies quotidiennes

  • Les tests mettront du temps à être accessibles au plus grand nombre. Progressivement, les laboratoires s’organisent, les files d’attente s’allongent devant les centres qui pratiquent, à la chaîne, ces tests PCR qui deviennent des sésames pour travailler, se déplacer, se rassurer. Quitte à subir le désagrément du coton-tige dans le nez plusieurs fois par mois.
    Les tests mettront du temps à être accessibles au plus grand nombre. Progressivement, les laboratoires s’organisent, les files d’attente s’allongent devant les centres qui pratiquent, à la chaîne, ces tests PCR qui deviennent des sésames pour travailler, se déplacer, se rassurer. Quitte à subir le désagrément du coton-tige dans le nez plusieurs fois par mois. Centre Presse - José A. Torres
  • Confinement et commerces non essentiels : seule l’alimentation est ouverte aux achats.
    Confinement et commerces non essentiels : seule l’alimentation est ouverte aux achats. Centre Presse - José A. Torres
  • Baisser de rideau en boutique : huit semaines au printemps, six semaines en automne. Un désastre économique.
    Baisser de rideau en boutique : huit semaines au printemps, six semaines en automne. Un désastre économique. Centre Presse - José A. Torres
  • Les personnes âgées vont payer un lourd tribut au Covid : les morts se multiplient dans les Ehpad aveyronnais dès le printemps et jusqu’à la fin de l’automne, notamment à Firmi, Sévérac, Villefranche ou encore Rodez (Bon Accueil). Ceux qui survivent au virus, entrent en rééducation, parfois bien longue. Et pour tous, la détresse de ne plus voir ses proches, accueillis au compte-gouttes, s’ajoute au désordre sanitaire.  
    Les personnes âgées vont payer un lourd tribut au Covid : les morts se multiplient dans les Ehpad aveyronnais dès le printemps et jusqu’à la fin de l’automne, notamment à Firmi, Sévérac, Villefranche ou encore Rodez (Bon Accueil). Ceux qui survivent au virus, entrent en rééducation, parfois bien longue. Et pour tous, la détresse de ne plus voir ses proches, accueillis au compte-gouttes, s’ajoute au désordre sanitaire.   Centre Presse - José A. Torres
  • Les personnes âgées vont payer un lourd tribut au Covid : les morts se multiplient dans les Ehpad aveyronnais dès le printemps et jusqu’à la fin de l’automne, notamment à Firmi, Sévérac, Villefranche ou encore Rodez (Bon Accueil). Ceux qui survivent au virus, entrent en rééducation, parfois bien longue. Et pour tous, la détresse de ne plus voir ses proches, accueillis au compte-gouttes, s’ajoute au désordre sanitaire.  
    Les personnes âgées vont payer un lourd tribut au Covid : les morts se multiplient dans les Ehpad aveyronnais dès le printemps et jusqu’à la fin de l’automne, notamment à Firmi, Sévérac, Villefranche ou encore Rodez (Bon Accueil). Ceux qui survivent au virus, entrent en rééducation, parfois bien longue. Et pour tous, la détresse de ne plus voir ses proches, accueillis au compte-gouttes, s’ajoute au désordre sanitaire.   Centre Presse - José A. Torres
  • Attestation de rigueur au premier confinement, au second, et en période de couvre-feu. Policiers et gendarmes aussi sont en guerre. Le seul chiffre qui ne varie pas avec le Covid, c’est 135 : ce qu’il vous en coûte, en euros, pour une amende.
    Attestation de rigueur au premier confinement, au second, et en période de couvre-feu. Policiers et gendarmes aussi sont en guerre. Le seul chiffre qui ne varie pas avec le Covid, c’est 135 : ce qu’il vous en coûte, en euros, pour une amende. Centre Presse - José A. Torres
  • Attestation de rigueur au premier confinement, au second, et en période de couvre-feu. Policiers et gendarmes aussi sont en guerre. Le seul chiffre qui ne varie pas avec le Covid, c’est 135 : ce qu’il vous en coûte, en euros, pour une amende.
    Attestation de rigueur au premier confinement, au second, et en période de couvre-feu. Policiers et gendarmes aussi sont en guerre. Le seul chiffre qui ne varie pas avec le Covid, c’est 135 : ce qu’il vous en coûte, en euros, pour une amende. Centre Presse - José A. Torres
  • Les soignants sont en première ligne depuis un an et continuent à l’être. Les hôpitaux aveyronnais sont parvenus à ne jamais être en situation critique. 
    Les soignants sont en première ligne depuis un an et continuent à l’être. Les hôpitaux aveyronnais sont parvenus à ne jamais être en situation critique.  Centre Presse - José A. Torres
  • Lancée en Aveyron en tout début d’année, la campagne de vaccination destinée à endiguer la contamination, a trouvé son rythme de croisière. Un rythme que suit l’approvisionnement en doses de vaccins (Pfizer d’abord, AstraZeneca ensuite) que les centres d’accueil, et les pharmaciens désormais mettent en œuvre pour les plus âgés, les plus fragiles, et les soignants.
    Lancée en Aveyron en tout début d’année, la campagne de vaccination destinée à endiguer la contamination, a trouvé son rythme de croisière. Un rythme que suit l’approvisionnement en doses de vaccins (Pfizer d’abord, AstraZeneca ensuite) que les centres d’accueil, et les pharmaciens désormais mettent en œuvre pour les plus âgés, les plus fragiles, et les soignants. Centre Presse - José A. Torres
  • Lancée en Aveyron en tout début d’année, la campagne de vaccination destinée à endiguer la contamination, a trouvé son rythme de croisière. Un rythme que suit l’approvisionnement en doses de vaccins (Pfizer d’abord, AstraZeneca ensuite) que les centres d’accueil, et les pharmaciens désormais mettent en œuvre pour les plus âgés, les plus fragiles, et les soignants. Lancée en Aveyron en tout début d’année, la campagne de vaccination destinée à endiguer la contamination, a trouvé son rythme de croisière. Un rythme que suit l’approvisionnement en doses de vaccins (Pfizer d’abord, AstraZeneca ensuite) que les centres d’accueil, et les pharmaciens désormais mettent en œuvre pour les plus âgés, les plus fragiles, et les soignants.
    Lancée en Aveyron en tout début d’année, la campagne de vaccination destinée à endiguer la contamination, a trouvé son rythme de croisière. Un rythme que suit l’approvisionnement en doses de vaccins (Pfizer d’abord, AstraZeneca ensuite) que les centres d’accueil, et les pharmaciens désormais mettent en œuvre pour les plus âgés, les plus fragiles, et les soignants. Centre Presse - José A. Torres
Publié le
Christophe Cathala

"Nous sommes en guerre !", lançait samedi 14 mars 2020 Emmanuel Macron, annonçant la fermeture des bars et restaurants le soir même et un confinement général mardi 17 mars à midi.

Le Président de la République inaugurait par cet appel à la mobilisation, l’année de tous les dangers que personne ne percevait encore. Ce coronavirus, si loin, devenait si proche. Un premier mort en France le 15 février allait précéder la ruée progressive vers les supermarchés, vite soulagés, entre autres, de… papier hygiénique.

Le confinement pousse à l’exode vers la campagne, les Français deviennent des réfugiés dans leur propre pays. On a peur de son ombre, on se décape les mains, on nous interdit le masque si on n’est pas contaminé…

C’est le temps des attestations et des contrôles qui vont avec, une heure et un kilomètre bien justifiés. C’est le début du télétravail, les enfants dans les pattes car on n’arrive plus à les faire garder. Le chômage partiel, les aides de l’État, les tâtonnements en tout genre, les ordres et les contrordres d’un gouvernement et son conseil scientifique dépassés par les événements. Huit semaines où le jour devient la nuit, villes fantômes et habitants cloisonnés qui, sur leur balcon, applaudissent tous les jours à 20 heures, les soignants qui sont au front. 

Déconfinement le 11 mai, on respire. On se retrouve comme avant la guerre dans les bars, cinémas et restaurants dès le 21 juin. La saison touristique a déjà du plomb dans l’aile même si l’étau se desserre un peu l’été sous garantie des gestes barrière, des protocoles sanitaires, des interdictions de rassemblements. Un été sans festival, nourri par l’appréhension de tout gâcher par une attitude irresponsable.

L’épidémie repart de toute façon le 20 août, on se remet à compter les morts, à scruter les courbes, à revoir à la télé le cortège des épidémiologistes qui martèlent : "le virus circule toujours".  Reconfinement, un peu plus souple, du 29 octobre au 15 décembre. Et au-delà pour redire adieu aux cinémas, salles de spectacles, bars et restaurants, mais aussi aux stations de ski, aux tablées familiales de Noël, à la Saint-Sylvestre.

Le couvre-feu à 18 heures, partiel jusqu’alors, est étendu à tout le pays le 16 janvier. Il y a belle lurette que tous les Français sont tenus de porter le masque…

Voilà où on en est. Jusqu’à quand ?

Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?