Naucelle Actions et le coordinateur du festival BD à l’honneur

Abonnés
  • Inauguration officielle du festival.
    Inauguration officielle du festival.
Publié le
CORRESPONDANT

C’est une aventure hors du commun de jeune festival de BD qui existe seulement depuis 4 ans et déjà peut se prévaloir d’être international. Une belle édition que celle de 2021, rassemblant 46 auteurs, dessinateurs et caricaturistes, huit de plus que la précédente édition. Un succès retentissant qui n’est pas étranger à Naucelle Actions, dont les deux présidents Alain Assié et Christophe Francès, n’ont eu cesse de fédérer un pool de plus d’une cinquantaine de bénévoles qui ne rechignent jamais à la tâche. Christian Couderc a intégré cette association avec son projet bien ficelé sur la BD, la conjonction de deux rencontres donne le résultat actuel. Naucelle est également un terreau d’artistes "bulleurs" avec les frères Bec et Philippe Laffitte ayant tous trois un talent de renom. Il convient aussi d’ajouter qu’il a fallu un courage certain afin de maintenir l’édition 2021, étalée sur deux jours. Une édition qui accueillait deux séries d’affiches, l’une pour dénoncer les violences conjugales, l’autre en hommage aux 100 ans du "grand" Georges Brassens. Les grands élus du département avaient effectué le déplacement lors de son inauguration officielle. Christian Couderc ouvrait le bal des discours par l’énumération d’une série de chiffres : 04 (édition 4), 47 (auteurs), 03 (3 expositions), 70 (partenaires) et 50 (le nombre de bénévoles).

Le président d’Honneur du Festival Éric Hubsch, racontait une anecdote sur Naucelle autour d’une rencontre culinaire avec Christian et un producteur américain de TV, David Beignoff… Karine Clément, présidente du Pays Ségali et maire, mettait en exergue la pugnacité de Naucelle Actions pour avoir réussi à maintenir l’événement attendu patiemment par nombre de passionnés. Arnaud Viala qualifiait cet événement de belle manifestation et bel exemple d’accès à la culture au plus grand nombre. Virginie Firmin soulignait aussi le maintien de la manifestation qui donne un bol d’air au village et le dynamise toujours plus. Alain Marc, un fidèle du festival, appréciait les affiches des 100 ans de Georges Brassens et l’exposition contre la violence faite aux femmes. Anne Blanc, députée s’est dit fière de voir ce qu’est devenu le festival, sans chauvinisme aucun, elle prédisait un avenir encourageant à ce festival. Elle eut quelques mots élogieux envers Christian Couderc. Pour clore ce moment protocolaire, André Bec, chantre de Georges Brassens, ne pouvait qu’interpréter "Le radeau de la méduse" et "Pauvre Martin" en occitan pour celui qui fut un temps son conseiller pédagogique.

Cet article est réservé aux abonnés
Accédez immédiatement à cet article
2 semaines offertes
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?