Villefranche-de-Rouergue. Aveyron : à Lunac, un marché de Noël… à la maison !

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  • Maxime Roumagnac sera de la partie pour présenter son dernier opus voulu hilarant et écrit en franglais.
    Maxime Roumagnac sera de la partie pour présenter son dernier opus voulu hilarant et écrit en franglais.
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Centre Presse Aveyron

Rendez-vous le 27 novembre à la Bourdarie, en contrebas du gymnase, près de Lunac.

Jamais une idée en retard, toujours dynamique et positive, Antoinette Chenu laboure ses idées et ses projets entourée d’un bon noyau de proches et d’amis. Comme une philosophie de vie. Fleuriste de métier, elle a toujours sur depuis son arrivée à la Bourdarie, continuer à allier la passion de son métier à des initiatives nouvelles, Le tout en cultivant un sens aigu des échanges convivialités.

De quoi tisser d’indélébiles liens avec quelques figures de plumes du pays proche à l’instar de l’écrivain Michel Lombard et du factotum de l’écrit et des images Maxime Roumagnac. Pas surprenant que dans son antre situé à proximité du bourg de Lunac, elle fasse à l’approche des fêtes de fin d’année une forme de journée "portes ouvertes" sur fond de Marché de Noël à domicile.

Une initiative plutôt sympa, programmée pour ce dimanche 27 novembre de 10 heures à 18 h 30 non-stop. Outre Antoinette et ses bouquets et compositions de fleurs séchées, on retrouvera donc l’auteur fouilladais Michel Lombard, le poète "rabalaire" Maxime Roumagnac et l’artiste peintre Nathalie Rossi qui présentera aussi des cartes de vœux faites main.

À noter que pour l’occasion l’ami Roumagnac donnera à lire son dernier opus présenté comme hilarant, une série de micro-chroniques dans lesquelles l’auteur transforme sa plume en un franglais volontairement approximatif…

Quant à Antoinette Chenu, elle est déjà pied au plancher afin de produire, d’assembler et de construire ses bouquets. "Je fais tout à la main avec les fleurs que je cultive, sauf que cette année les lapins n’ont pas fait de cadeau à mes semis", regrette-t-elle. De quoi donner encore une idée à Roumagnac pour passer de "le petit cochon" (sic) anglaise au lapin de garenne de Lunac.

Qu’à cela ne tienne, entre ce qu’elle collecte dans la nature, ce qu’elle se procure chez quelques fournisseurs et ce que les grandes oreilles ont dédaigné elle a trouvé de quoi faire…

Mais avant tout, elle entend faire de cette journée du dernier dimanche de décembre "un moment sympathique, car quand on peut, il faut se donner du bon temps, ça fait partie du jeu…"

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