Les Aveyronnais de Toulouse ont remis le couvert, avec la même gourmandise

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  • Plus de 80 personnes ont répondu à l’invitation pour ces retrouvailles des Aveyronnais de Toulouse au Café Authié, qui appartient au Villefranchois Olivier Guinou (porté par les organisatrices)..
    Plus de 80 personnes ont répondu à l’invitation pour ces retrouvailles des Aveyronnais de Toulouse au Café Authié, qui appartient au Villefranchois Olivier Guinou (porté par les organisatrices).. L'Aveyronnais - Rui Dos Santos
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A Toulouse, Rui Dos Santos

L’acte 5 des retrouvailles a été servi au Café Authié, chez Olivier Guinou, avec la présence de 85 personnes.

Comme on se retrouve ! À l’initiative des drôles de dames, Marjorie Dalbin (qui a donné le "la" de la première édition, voilà dix-huit mois), Virginie Granier, Laurence Destruel (présidente de l’amicale estampillée 31), Savannah Grimal et Christina Durand, avec l’appui précieux d’Aveyron WorldWide, groupe créé par Christophe Palous et Stéphane Rouquette, en 2014, pour que, selon leurs propres termes, "les expats du département puissent faire du réseau et rester en contact", et qui a dépassé voilà peu la barre symbolique des 2 000 membres, les Aveyronnais de Toulouse ont fêté la semaine dernière leurs retrouvailles.

Cet acte 5 a élu domicile, une nouvelle fois, chez Olivier Guinou, propriétaire du Café Authié (le plus vieux de la Ville rose puisqu’il date de 1882 !), place Dupuy, près de la Halle aux grains. Le Villefranchois n’a pas boudé son plaisir en s’adressant aux convives, au moment de se quitter : "Toute l’équipe de l’établissement vous remercie et vous dit "Bravo". Vous avez été top, ça a été un réel bonheur de vous recevoir. Merci pour votre joie de vivre, pour votre bonne humeur. J’ai passé à vos côtés une superbe soirée". Tout était dit !

Après quatre dates, la dynamique ne s’essouffle pas puisque plus de 80 Aveyronnais de Toulouse et de sa banlieue ont répondu à l’invitation. Il y avait là, bien sûr, le (gros) noyau dur de fidèles qui ne manqueraient ce rendez-vous pour rien au monde, il y avait ceux et celles qui n’ont pas (encore) la carte de fidélité mais qui ne vont pas tarder à la demander, et puis, il y avait les nouvelles têtes. Plus nombreuses cette fois-ci que d’habitude. Le bouche-à-oreille commence à porter ses fruits. Il y a même ceux qui se déplacent en famille, avec leurs (grands) enfants.

Tout le monde a trouvé son compte et son bonheur. Avec, pour la plupart, l’ouverture du tiroir à souvenirs. Certains ne s’étaient pas vus depuis plusieurs décennies… "Tu n’as pas changé(e) !" a été le refrain de la soirée ! Un trophée pourrait d’ailleurs voir le jour, à savoir la ville comptant le plus d’ambassadeurs. Mercredi soir, Villefranche-de-Rouergue était au-dessus du lot, carrément intouchable.

Rendez-vous en août, puis le 12 octobre

Alors que les organisatrices, qui ont respecté le blanc du dress-code, ont tiré le feu d’artifice avec quelques chorégraphies improvisées sur le bar du Café Authié, l’ensemble des invités ont pris note de la date de la prochaine "Aveyronnade". Avec "l’assent", c’est mieux ! Les drôles de dames ont trouvé (sans le chercher) leur Charlie puisqu’elles pourront s’appuyer sur Jean-Louis Cazes pour cet acte 6 servi jeudi 12 octobre.

Très proche du Stade toulousain, et notamment de Didier Lacroix son président, avec lequel il est associé à la tête de la société, créée en 1989, Groupe à la Une, le Morlhonnais a proposé la brasserie des récents lauréats du Bouclier de Brennus, au stade Ernest-Wallon. L’essai sera, sans aucun doute, transformé ! La date pour être au cœur de la mêlée est cochée en rouge et noir.

En attendant, place à l’été. Qui dit été, dit vacances, mais pas seulement. Car, comme beaucoup d’expats sont en congés au pays, Aveyron WorldWide organise ses repas du mois d’août, tous les jeudis soir. La tradition sera respectée et, si tout n’est pas encore complètement ficelé, le Bistrot Guinguette à Rodez devrait servir de décor aux agapes estivales. Les informations, dont les modalités de réservation, ne devraient pas tarder à fleurir…

Cerise sur le gâteau, un rendez-vous délocalisé, déjà testé l’été dernier et aux vacances de Noël, se profile à l’horizon. Il aura lieu à Villefranche-de-Rouergue. "Parce qu’il n’y a pas que Rodez dans la vie pour se retrouver autour d’un bon repas !", sert Delphine Palissot, maîtresse de cérémonie installée à Bruxelles. Elle mène actuellement un sondage, mais le mercredi 9 août tient la corde.

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