L’école de Viviez-Pont inaugurée en grande pompe
Anne-Marie Escoffier, ministre de la Décentralisation, Cécile Pozzo di Borgo, préfet, Marie-Lou Marcel, députée, faisaient notamment partie des invités du maire Jean-Louis Denoit, samedi après-midi.
Si l’établissement est fonctionnel depuis la rentrée 2012, c’est hier après-midi, et en grande pompe, que la nouvelle école de Viviez-Pont a été inaugurée. Et pas par n’importe qui : autour du maire Jean-Louis Denoit, pour couper le ruban inaugural, on retrouvait Anne-Marie Escoffier, ministre déléguée à la Décentralisation et à la Fonction publique ; Cécile Pozzo Di Borgo, préfet de l’Aveyron ; Éric Suzanne, sous-préfet ; Marie-Lou Marcel, députée ; ainsi que de nombreux élus du Bassin, des représentants de l’Éducation nationale, les enseignants et parents d’élèves de l’école.
Un million d'euros
Avant d’accompagner ses invités dans un tour du propriétaire à la découverte d’une école dont la rénovation est, sans conteste, une réussite architecturale et esthétique, Jean-Louis Denoit a tenu à rappeler que "la réalisation que nous inaugurons aujourd'hui, avec ses aménagements intérieurs et extérieurs et le renouvellement de certains mobiliers, a coûté à la collectivité 1 M€ HT". Le tout a été réalisé sur deux exercices au regard de "contraintes budgétaires fortes".
Le premier élu en a profité pour "remercier l’État qui a octroyé plus de 440 000 €", la contribution du conseil général "se limitant à 8 000 €". 400 000 € empruntés sur 10 ans et des fonds propres ont complété le montage financier d’un chantier qui s’est étalé sur 13 mois et aura mobilisé 16 corps de métiers.
En suivant, la députée Marie-Lou Marcel a insisté sur "l’école qui doit demeurer le premier des services publics" et sur cet établissement viviézois qui offre, dans ce sens, "un environnement de grande qualité". Pour conclure, la ministre Anne-Marie Escoffier s’est félicitée de ce "bel investissement pour l’avenir", avant de relever les "symboliques fortes de ces murs habillés par les lettres de l’alphabet" et de "cette superbe marelle dessinée dans la cour, qui nous conduit de la terre au ciel".
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