Villefranche-de-Rouergue. Pas de limite, ni de barrières…
On l’a découvert chantant "le zonard qui était marginal". C’était bien avant d’autres vies parallèles.
Sans jamais l’avoir perdu de vue – et pour cause – on le retrouve plus que jamais avec toujours sa moustache tombante chantant, avec de vrais airs de Brassens, "Le Vieux", magnifique opus de François Béranger.
"Le Vieux" et pleins d’autres bonnes reprises signées par les plus grands de la chanson française à commencer par celles du génial Sétois, ciseleur de mots. La soixantaine le bonifie l’ami Vivoux qui, avec Cathy Fernandez, invite la chanson francophone tous azimuts dans un répertoire spécifique. La voix de Cathyimprègne ce duo alors que Michel joue et assure les cœurs. Un florilège revu, corrigé et repensé allant de Gainsbourg au petit Claude des Minimes, de Nino Ferrer à l’énorme Léo Ferré – mention toute spéciale à Cathy Fernandez pour la force de l’interprétation des "Anarchistes", de Moustaki, "De profundis" au grand Jacques Brel. Sans oublier tonton Georges et sa "Marine frissonnante". Après le disque "Pause chanson", le duo continue de tracer sa route. Ce 1er mai il était au festival de Vaison-la-Romaine où il offrit deux temps très différents à un public convaincu.
Un hommage à Azmavour suivi comme son ombre du melting de chansons francophones avec un clin d’œil très appuyé aussi à Jaurès…
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