Rodez. Valérie Michel-Moreau s’est rendue au Plateau des Forges

  • Le maire aubinois, les représentantes de l’État et François Marty devant le stade Léopold-Goryl.
    Le maire aubinois, les représentantes de l’État et François Marty devant le stade Léopold-Goryl.
Publié le , mis à jour
GDM

Accueillie par le maire aubinois et une partie de son équipe, la préfète était accompagnée par Pascale Rodrigo,

Vendredi, lors de sa première visite sur le bassin decazevillois-aubinois, pour répondre à l’invitation du maire aubinois Laurent Alexandre, Mme la Préfète de l’Aveyron, Valérie Michel-Moreau, a fait un crochet par le Plateau des Forges du Gua, haut lieu de l’histoire industrielle, sociale et sportive d’Aubin.

Accueillie par le maire aubinois et une partie de son équipe, Valérie Michel-Moreau était accompagnée par Pascale Rodrigo, sous-préfète de Villefranche-de-Rouergue et par François Marty, maire de Decazeville et président de Decazeville Communauté.

Une visite qui n’avait rien d’anodine car sur ce Plateau des Forges est arrêté un projet de requalification qui bénéficie d’une enveloppe de 0,50 M€ et dont l’État est un des partenaires.

Après un arrêt à proximité du portail d’accès au stade Léopold- Goryl, d’où l’on visionne l’ensemble du Plateau, c’est au club house de la JSBA que se sont rendus les représentantes de l’État pour découvrir sur plan ce dossier présenté par le maire aubinois.

Ensuite visite du site, avec un petit rappel historique des cheminées, du mur de soutènement de la cité nouvelle, qui devrait bénéficier lui aussi d’un lifting assumé par Decazeville Communauté. Puis retour sur le Plateau où Laurent Alexandre indique à ses "invités" son prochain visage et ses futures utilisations. En suivant, le Mémorial qui rappelle un épisode tragique de l’histoire sociale du bassin, une fusillade faisant 14 victimes le 8 octobre 1869 puis la table d’orientation, qui offre un panorama complet sur ce quartier du Gua, avec à ses pieds le plan d’eau et en face le palais scolaire, école Jules Ferry, et l’église. Deux sites patrimoniaux emblématiques du quartier et indissociables de l’histoire industrielle d’Aubin. "Il est bien d’articuler le patrimoine en l’adaptant avec les besoins d’aujourd’hui. Ceci néanmoins en évitant de le dénaturer" glisse en conclusion Mme la Préfète.

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