Salles-Curan. Rencontre amicale avec la Société des Lettres et Les Amis d’Eugène-Viala

  • Le président des Amis d’Eugène-Viala et du Lévézou accueille les conférenciers.
    Le président des Amis d’Eugène-Viala et du Lévézou accueille les conférenciers.
  • Repas convivial
    Repas convivial
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CORRESPONDANT

En partenariat avec l’association des "Amis d’Eugène Viala et du Lévezou", la Société des Lettres de l’Aveyron organisait sa "sortie foraine" à Salles-Curan, dimanche 5 septembre.

Après un café d’accueil, près de 80 personnes étaient confortablement installées dans la salle de spectacles du Grenier de Monsieur pour suivre les trois conférences programmées.

C’est avec beaucoup d’émotion que Serge-Charles Bories, président des Amis d’Eugène-Viala, ouvrait la matinée avec quelques mots en hommage à Jean-Marc Nayral, entrepreneur spécialiste de la pierre, décédé deux jours auparavant et en écho, Brigitte Coupé lisait son poème sur L’amour de la pierre.

Ce fut ensuite Romain Molinier, vice-président de l’association et avocat au barreau de Toulouse, qui proposait une conférence très documentée sur Les évêques à Salles-Curan : plus de cinq siècles d’Histoire.

Puis, Serge Carnus, architecte des Monuments de France avec qui Jean-Marc Nayral aurait dû intervenir, exposait les différents travaux engagés au château de Salles-Curan que les actuels propriétaires souhaitent rénover.

Pour clore la matinée, Serge-Charles Bories présentait Eugène Viala, né et mort à Salles-Curan, au travers de ses œuvres, peintures, gravures et de sa poésie avec Brigitte et Yves qui lisaient quelques-uns de ses écrits.

Au terme de cette matinée riche d’études et de recherches sur le passé et le patrimoine local, le repas était servi à Saint Martin-des-Faux, au restaurant Gaubert, dans une ambiance gourmande et détendue.

La journée s’est poursuivie avec la visite guidée de la collégiale avec Romain Molinier ; les extérieurs du château, avec Serge Carnus et de l’exposition Eugène Viala, au musée qui lui est consacré. Une très belle journée, dense et enrichissante, pleine d’émotion, certes, mais pendant laquelle convivialité, simplicité et chaleur humaine étaient au rendez-vous. Et, à coup sûr, le grand regretté de la journée, Jean-Marc Nayral, n’était pas loin.

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