Decazeville. Rencontre avec la poétesse Dominique Marin

Dominique Marin est revenue vivre à Decazeville, au quartier de Fontvergnes, depuis 2017. Elle vient de publier un recueil de poésies, intitulé "Rencontres multicolores".

Comment êtes-vous venue à la poésie ?

J’écris de la poésie depuis l’âge 17 ans, quand j’étais élève au lycée de Decazeville, ville où je suis née. Lorsque j’habitais à Bordeaux, j’ai rencontré Rolando Toro Araneda, à la fois poète, anthropologue et psychologue, originaire du Chili. C’est lui qui m’encouragera à poursuivre cette activité de poétesse.

Cela a bien marché ? Avez-vous obtenu une reconnaissance ?

L’écriture poétique s’est imposée à moi naturellement. J’ai remporté plusieurs prix dans la région bordelaise où j’ai résidé 27 ans. Un premier prix en 2007, puis en 2009 pour le poème de "Mon enfant", écrit pour mon fils, Félix Liarçou. Tout cela dans la catégorie "poésie libre" et dans le cadre du Printemps des poètes qui me tenaient particulièrement à cœur et dont l’édition 2022 se termine ce dimanche 27 mars.

Un mot sur votre livre ?

Ce recueil en couleurs de 34 poésies est agrémenté de photographies et de gravures. Les poèmes sont inspirés par mes voyages et mes rencontres, durant une période courant de 2006 à 2020. Mes textes abordent les thèmes de l’amitié, de l’amour, interrogent sur la profondeur des rencontres, d’où le titre du livre. Vous pouvez vous le procurer en me contactant au 06 16 15 86 84 ou sur Messenger, WhatsApp, Instagram, au prix de 20 €.

Des projets à venir ?

Je suis invitée à Figeac, fin mars, pour présenter mon recueil. Mais récemment j’ai eu la joie d’intervenir au centre social de Decazeville communauté où j’ai été invitée par une équipe formidable. Je prépare la fête de la musique 2022 où les chants, poésies et musique vont s’harmoniser. Pour conclure, je dirai que j’aime partager mes passions, tout ce qui m’anime, aller au cœur de l’humain.