Villefranche-de-Rouergue. Faute avouée à demi… pardonnée

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  • Repris par éric Cantournet, Serge Roques a reconnu s’être trompé suite au courrier du contrôle de légalité de la sous-préfecture./DDM.
    Repris par éric Cantournet, Serge Roques a reconnu s’être trompé suite au courrier du contrôle de légalité de la sous-préfecture./DDM.
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GDM

En préambule de l’examen de l’ordre du jour du conseil municipal, Eric Cantournet a tenu à revenir sur les propos tenus par le maire lors de la séance du 14 novembre dernier. Et ce, après que les services de l’état ont transmis la lettre d’observation du contrôle de la légalité portant sur la délibération des fameux réseaux pour des parcelles privées de la route de Montauban.

Serge Roques s’était fendu d’un "les fonctionnaires de l’état ont manqué à leur devoir de réserve". Or, la fameuse missive avait été adressée en mairie le 6 juillet 2018. Sachant que son contenu ne doit pas être transmis, hors intéressé, avant un délai de trois mois, les services de la sous-préfecture l’avaient fait à la demande des élus d’Atout Villefr@nche le 4 octobre dernier. "Ce qui veut dire qu’elle était communicable", a tranché le leader du groupe d’opposition.

Faisant son mea culpa, le maire a reconnu s’être trompé suite à "une erreur d’interprétation". Avant d’ajouter : "Mais quand on veut avancer on s’aperçoit qu’il y a parfois plus de monde pour freiner…"

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