Espalion. Du folklore à la techno pour cette 38e édition

Durant la journée de vendredi ponctuée d’averses fréquentes on craignait le pire pour la fête de la musique prévue en soirée. Mais, dès 18 heures les nuages menaçants se sont dissipés et pas une seule goutte de pluie n’est venue perturber le riche programme annoncé.

Ce ne sont pas moins de quinze groupes musicaux qui ont animé les différents lieux de la ville attirant ainsi de nombreux mélomanes dans les rues et sur les places jusqu’à une heure tardive.

À 15 heures "Les chanteurs d’Olt" ont donné le coup d’envoi de cette fête de la musique en intervenant à la maison de retraite devant des pensionnaires séduits par les chansons interprétées par la troupe.

En ville, dès 18 heures, "Le trio chansons françaises" était à la chapelle des Pénitents. À la même heure le collectif "Rodez City Flow" s’installait devant la mairie pour un répertoire de musique urbaine. Une heure plus tard "L’écho de la vallée" et le "Réveil de Pont-de-Salars" faisaient résonner cuivres et percussions dans les rues, tout comme la banda locale "Les souvenirs de Nestor" allait le faire tout au long de la soirée. "Les Biens Allers de l’Aubrac" déambulaient également dans la ville et faisaient résonner les cors de chasse.

Sur le podium installé au Foirail les deux groupes folkloriques, "La Cabrette du Haut Rouergue" et la "Bourreïo d’Olt" allaient se succéder puis céder la place à "Pierrot Musette" pour le bal populaire.

"Rose Sophie" chantait au fond de la rue Droite et la chapelle des Pénitents accueillait un deuxième concert, celui de "Guitare and co".

Ensuite, sur la place du Marché, c’est le concert de l’école de musique avec l’ensemble de variété dirigé par Fred Bonnet qui attirait un très nombreux public pour un succès mérité. Le Café des Arts portait bien son nom, ce soir-là, en accueillant sur sa terrasse le groupe "Acoustic" qui interprétait avec brio de la variété française.

Sur la place de la Mairie "Juniper’Blues Band" offrait une large variété de musique rock. Au foirail, après le feu de la Saint-Jean, "Chico & Chico" proposait encore de la musique techno.