Rignac. Théâtre : les petits crimes étaient conjugaux

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  • Pour cette première, le public a été tolérant avec quelques petits couacs sonores.
    Pour cette première, le public a été tolérant avec quelques petits couacs sonores.
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CORRESPONDANT

"Je n’en peux plus de ne pas jouer". Deux ans de repos forcé : le metteur en scène et acteur Jimmy Pagneux avait exprimé, tout en les comprenant, son ras-le-bol des restrictions sanitaires. Deux ans que l’association Rencontres citoyennes programmait et déprogrammait "Petits crimes conjugaux", cette pièce de théâtre d’Éric-Emmanuel Schmitt qui raconte comment un mari amnésique tente de recomposer son existence à partir des dires de son épouse dans une comédie noire, pleine de surprises.

Tout comme Jimmy Pagneux, l’association par la voix de son président Christian Valayer exprimait son envie d’arriver au jour J de cette première représentation. Oui, il s’agissait d’une première et l’espace André-Jarlan a eu l’honneur d’assurer cette première. Jimmy Pagneux voulait se tester en milieu rural avant de se lancer dans des cités urbaines plus conséquentes. Conquis par les infrastructures locales, il avait jeté son dévolu sur la salle des fêtes rignacoise.

Le public a répondu à cette invitation : environ 250 spectateurs ont assisté à cette représentation et ont apprécié la prestation d’Éva Bottollier dans le rôle de l’épouse et de Jimmy Pagneux dans le rôle du mari amnésique.

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