Saint Geniez d'Olt et d'Aubrac. L’auditorium affiche complet

  • Le préfet Charles Giusti entouré par Céline Nessi (à droite) la directrice artistique, (en partant de la gauche), le maire Marc Bories et J.-P. Duvivier, le président d’Orgues et Musiques.
    Le préfet Charles Giusti entouré par Céline Nessi (à droite) la directrice artistique, (en partant de la gauche), le maire Marc Bories et J.-P. Duvivier, le président d’Orgues et Musiques.
  • Les musiciens à l'auditorium au concert du festival de musique en vallée d'Olt
    Les musiciens à l'auditorium au concert du festival de musique en vallée d'Olt
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CORRESPONDANT

Le cinquième concert du festival en vallée d’Olt s’est déroulé le mardi 24 juillet, en présence du préfet de l’Aveyron Charles Giusti et de Marc Bories, maire de St-Geniez-d’Olt et d’Aubrac.

À l’instar des spectacles musicaux précédents de cette édition 2023 qui s’étaient tenus dans les églises de St-Geniez-d’Olt, St-Côme-d’Olt et Prades-d’Aubrac qui affichaient complet, l’Auditorium était comble.

Fort heureusement les organisateurs avaient prévu d’accueillir le public qui n’avait pas pu entrer dans la salle, faute de place, sous des tonnelles dressées dans le jardin public attenant. Confortablement installés, ces auditeurs ont pu eux aussi profiter d’une prestation musicale de très haut niveau.

La soirée a commencé par le trio "Kegelstaat" (Les Quilles) de Mozart, pour piano, alto et clarinette, cette formation innove pour l’époque et l’on sait que Mozart appréciait et jouait de l’alto à sa création. Ce trio compte parmi les plus grandes œuvres de musique de chambre selon plusieurs musicologues.

Le programme s’est poursuivi le trio en do de Karl Goepfart. Changement d’époque, de notoriété et de style pour cette œuvre écrite pour flûte, hautbois et piano, publié en 1898.

Le concert s’est achevé sur le trio n° 1 en si b m de Franz Schubert. Pièce pour violon, violoncelle et piano, ce chef-d’œuvre du romantisme laisse poindre le doute et l’angoisse du compositeur en fin de vie, cependant masqués par la courtoisie inhérente de Schubert.

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