Carton plein pour le tout jeune salon Bien Vivre

  • Début plus qu’encourageant pour le premier salon Bien Vivre.
    Début plus qu’encourageant pour le premier salon Bien Vivre. OC
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O.C.

Rodez. Pour sa première édition, le salon consacré aux seniors a réuni 2000 personnes pendant le week-end à la salle des fêtes de Rodez. Un satisfecit pour les organisateurs et professionnels.

Malgré le beau temps et la Coupe du monde de rugby, le premier salon Bien Vivre a connu une belle affluence avec plus de 2000 personnes découvrant les quelque 40 stands proposés pendant le week-end. «On a fait des ventes et décroché des partenariats avec des Ehpad», se réjouit Pierre Fugit ayant mis au point une application sur tablette numérique adaptée aux seniors. Des seniors qui ont arpenté et parfois passé commandes auprès de professionnels ravis d’avoir déjà pu être vus.

«On a fait des touches avec des ventes à la clef mais le plus important est que les gens nous connaissent», dit-on à Motochoc. Idem pour le duo Maxime et Lionel de la société villefranchoise Soleir, nouvellement agréée par Dal’Alu, enseigne nationale de gouttière en aluminium : «L’objectif était d’être vu car c’est notre premier salon. Cela permet de sortir du lot car aujourd’hui il faut être présent». Même Jean-Luc Matha avec son domaine viticole de Marcillac y est allé de son éloge envers le salon pour conjuguer art de vivre et bien vivre.

«Il ne faut pas se reposer sur ses lauriers mais toujours se montrer, se battre, penser sourire et présence». À ce petit jeu des sourires, le salon portait bien son nom, en témoignent l’ambiance conviviale et les repas du traiteur pris d’assaut. Du ludique, du festif donc, mais aussi de l’informatif avec des conférences éclectiques et appréciées.

Quant à ceux qui ont préféré le ballon ovale, un écran géant avait été mis à disposition. Bref, pour reprendre Damien du domaine Matha : «On trinque au salon!» Et après confirmation à la conférence sur la nutrition, les hommes peuvent boire trois verres de vin par jour et les femmes deux. De quoi apporter de la chaleur humaine en attendant la prochaine édition.

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