Rodez : le lycée François-d’Estaing en mode international

  • Quatre étudiants et une volontaire allemande passeront une année scolaire au lycée.
    Quatre étudiants et une volontaire allemande passeront une année scolaire au lycée.
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Centre Presse

Le lycée François-d’Estaing reçoit cette année cinq étudiants étrangers venus de divers horizons et qui découvrent la vie lycéenne en France.

En 1re L, il accueille Lunna Menezes Didier Almeïda qui arrive du Brésil. « J’ai 17 ans, je vis dans une ville d’un million d’habitants dans le nord-est du pays sur la côte. J’ai choisi de venir en France pour apprendre le français et connaître sa culture. Je vais rester un an avec le soutien du Rotary-Club et du lycée ! »

En 2de, Mihail Nedko, quant à lui, arrive de Varna, en Bulgarie, sur les bords de la Mer Noire. Après avoir passé deux années au lycée français dans son pays, il arrive à Rodez afin de se perfectionner mais également pour poursuivre ses études supérieures en France. Il est interne au lycée et vit dans une famille d’accueil en dehors du temps scolaire.

Dans cette même classe, Andrea Ghenea arrive de Bucarest, en Roumanie. Elle s’est installée avec sa famille à Rodez. Elle communique déjà très bien avec ses camarades de la classe et semble satisfaite de sa nouvelle vie.

Toujours en 2de, Nudee Jaruchaikul est étudiante dans le cadre d’un échange Rotary. Elle va passer son année au lycée pour se familiariser avec la langue de Molière. Elle arrive de Bangkok en Thaïlande. Elle est hébergée dans la famille de Paul-Elie Lanchon, élève qui, lui, passe un an de sa scolarité aux États-Unis.

Enfin, l’établissement accueille Elisabeth, en qualité de volontaire allemande. « J’ai 18 ans et je viens de Leipzig, une ville de Saxe à l’est de l’Allemagne. Je suis à Rodez depuis mi-septembre et je vais rester jusqu’à la fin de l’année scolaire. En tant que volontaire allemande, j’apporte une aide pendant les cours d’allemand et j’offre des ateliers en dehors de l’école pour donner la chance a des élèves de discuter et de travailler sur un thème qu’ils ne comprennent pas en cours. J’ai fait le choix d’une année volontaire franco-allemande, car je voudrais devenir enseignante (en français et chimie) et j’ai déjà fait un échange scolaire pendant deux mois à Lyon et j’en garde un très bon souvenir. Jusqu’à maintenant, j’ai pu m’acclimater assez rapidement et je me sens très bien ici à Rodez. »

De beaux échanges et de belles rencontres en perspective, non seulement dans l’établissement mais également avec les habitants.

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