Aveyron. Quatre nouvelles adresses gourmandes dans le Guide Michelin 2018

  • Le chef Laurent Michel aux fourneaux de la Fleur de Sel, à Soulages-Bonneval, fait une entrée remarquée et méritée !
    Le chef Laurent Michel aux fourneaux de la Fleur de Sel, à Soulages-Bonneval, fait une entrée remarquée et méritée !
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Centre Presse / Olivier Courtil

Ni étoile, ni Bib gourmand, du moins pour l’instant, mais bien quatre « assiettes », prometteuses, font leur apparition dans Guide Michelin qui recense dans cette 18e édition, trente et une tables en Aveyron.

Il s’agit du restaurant « Laba » au cœur de Laguiole tenu par Henri-Luc Dauvergne, passé entre les mains de Bras et son épouse Brenda. « La » pour Laguiole,

« Ba » pour... Buenos Aires, d’où est originaire l’épouse du chef. Une union alléchante ! Au programme, une cuisine de bonne qualité, bien réalisée, avec un menu renouvelé tous les jours, et des prix imbattables ; on peut même commander quelques tapas pour l’apéritif. Ajoutez à cela l’accueil détendu et spontané, vous obtenez une adresse au poil », dit l’inspecteur du guide.

Non loin de là, à Soulages-Bonneval, c’est aussi un jeune couple qui vient de s’installer, Laurent et Nadège, à la tête de La Fleur de Sel sur le domaine de Mezeyrac qui fait déjà son entrée. « La courte carte décline une jolie sélection de plats au goût du jour, bien assaisonnés et cuits avec précision. Tartare de lieu noir, dos de cabillaud cuit à la fleur de sel : le chef, venu de Corse, a un faible pour le travail du poisson. Les amateurs apprécieront ».

À Onet-le-Château, Labro’Voir a également ravi les papilles de l’inspecteur : « Sol en béton ciré avec pierres incrustées, chaises chinées, lustre à pampilles : voici un restaurant qui a du style ! Mais c’est surtout la cuisine du chef qui retient l’attention ».

N’en reste qu’un, Le Jardin des Causses et son chef, « jardinier écolo dans l’âme », Pierre Lacassagne. Implantée à Villeneuve, l’adresse séduit : « Dans l’assiette, le veau de l’Aveyron s’encanaille avec les plantes aromatiques et autres tomates cultivées dans le potager de son père ; les recettes sont bien ficelées, avec d’agréables associations de textures et des cuissons précises. Une bonne adresse » souligne le guide. « Peu importe la sécheresse des plateaux quercynois : le chef tient ici un Jardin très hospitalier ! » On en salive d’avance.

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